Est-ce bientôt la fin de TPMP à la télévision ? Alors que C8 devrait fermer ses portes en février 2025 suite à la décision de l'Arcom de ne pas renouveler sa fréquence de diffusion sur la TNT, l'avenir de l'émission reste flou. Et ce n'est pas la future baisse des salaires des chroniqueurs, annoncée par Cyril Hanouna, qui rassurera tout le monde. Ni même les audiences de l'émission.
Comme l'a rappelé le Groupe TF1 ce vendredi 13 septembre 2024, depuis la rentrée, c'est Quotidien qui est le talk-show "numéro 1 tous les jours", avec une moyenne de 2 millions de téléspectateurs depuis le début de la semaine. Une performance impressionnante qui contraste avec celle de TPMP qui, ce jeudi 12 septembre 2024, voyait sa partie 2 n'être suivie que par 1,15 million de personnes par exemple.
Et justement, ce sont les audiences qui ont fait l'objet d'un petit tacle de la part d'un certain... Laurent Ruquier. Récemment invité dans l'émission Legend de Guillaume Pley, l'animateur télé a été interrogé sur les horaires extrêmement tardifs de ses précédentes émissions sur France 2. Et à cette occasion, il a dévoilé un petit secret de production.
"J'avais une productrice, Catherine Barma, qui savait que pour une émission comme On n'est pas couché, plus on allait tard dans la nuit, plus on faisait de parts de marché, a-t-il soufflé. À l'époque, c'était plutôt la part de marché qui comptait, plus que le nombre de téléspectateurs". Et visiblement, cette stratégie aurait vite été comprise par d'autres et retournée dans un sens différent : "Ça, c'est Cyril Hanouna et Jean-Marc Morandini qui ont très vite compris qu'il valait mieux parler du nombre de téléspectateurs que de la part de marché, parce que c'était plus à leur avantage".
Puis, l'actuel candidat des Traîtres sur M6 a expliqué : "À l'époque, et ça paraît plus logique, ce qui compte, c'est combien de personnes vous regardent, sur 100 qui sont devant un téléviseur". Et de préciser, vis-à-vis de son cas passé : "Catherine Barma avait compris que plus long et plus tard on était diffusés, plus on faisait de parts de marché."
Un tacle pas bien méchant, mais qui ne devrait pas motiver Hugo Manos à retrouver son poste de chroniqueur autour de la table de TPMP.