Aujourd'hui, Benjamin Samat est un candidat phare de la télé-réalité. S'il a rejoint la famille des Marseillais (il a récemment annoncé son départ de l'émission), ce n'est pas dans une saison de l'émission avec Julien Tanti ou Paga qu'il s'est fait connaître. En 2013, il était prince de La belle et ses princes presque charmants puis avait participé à la saison 1 des Princes de l'amour avant d'enchaîner les saisons des Marseillais.
Grâce à la télé-réalité - et aux placements de produits - Benjamin Samat a pu amasser une jolie fortune et vit désormais à Dubaï avec sa chérie Maddy Burciaga et leur fils, Andrea, né le 30 septembre dernier. Une vie à l'aise qu'il a mis du temps à avoir, a-t-il assuré dans des stories sur Instagram. Il a aussi voulu rassurer ses followers les plus jeunes, assurant qu'on n'a pas d'argent sans travailler.
Lors de ses débuts à la télé, Benjamin Samat ne gagnait pas une fortune. Loin de là. Comme il l'a confié sur Instagram, la star du petit écran a même dû repartir travailler pour subvenir à ses besoins. "Même en étant connu, après 4 émissions, je suis reparti travailler pour gagner 1250 euros par mois dans un restaurant. Je travaillais aussi en boîte pour arrondir les fins de mois" a expliqué le chéri de Maddy Burciaga. Une chose qu'il assumait à 100% malgré sa notoriété. "Les gens me reconnaissaient et je n'avais pas honte. Personne ne va vous donner cet argent si vous n'allez pas le chercher" assure-t-il.
Suite à cette décision, Benji avoue aussi avoir été victime de certaines moqueries. "Les phrases du style : 'Haha t'as fait de la télé et tu te retrouves là' ou alors 'Beh alors, ça paye pas la télé ?', j'en ai entendu, croyez-moi. Parfois, les gens sont blessants mais si vous ne perdez pas de vue vos objectifs et que vous ne vous souciez pas du regard des gens, vous serez invincible" ajoute le candidat de télé-réalité.
Benjamin Samat a aussi passé un message important passé aux jeunes, souvent éblouis par la richesse de certains candidats sur les réseaux. Il a partagé un tweet où l'on pouvait lire : "Il y a zéro honte à être en précarité, surtout à un jeune âge. Ne vous laissez pas impressionner par les réseaux : c'est normal de ne pas avoir une paire à 400 euros ou de ne pas voyager tous les 6 mois à la vingtaine. Vivez selon vos moyens en étant fiers du peu que vous avez, tout viendra avec le temps". Ce à quoi il a répondu : "Je valide à 800%, n'ayez pas honte de votre situation, battez-vous pour y arriver ! Avant d'être 'à l'abri', j'ai trimé aussi, enchaîné parfois 2 ou 3 boulots à la fois pour pouvoir me faire mon argent !"