Chaque année c'est la même chose : dès qu'une nouvelle saison de Mariés au premier regard est diffusée sur M6, les candidats mis en scène à l'écran profitent des réseaux sociaux pour critiquer... les coulisses de l'émission. Ainsi, après Mélodie et Rémi en 2020, suivis de Mélina et Franck en 2021, c'est au tour de Fabrice - participant de l'actuelle saison 7, de se plaindre du travail des équipes.
A l'occasion d'une story publiée sur Instagram, le nouveau mari d'Anabel n'a pas manqué de déplorer le manque de sincérité et de naturel parmi les images diffusées à l'écran. "En vrai, les scènes vécues avec Anabel après notre rencontre sont guidées par notre journaliste, rien n'est spontané, a-t-il balancé à un abonné qui s'interrogeait sur la réalité des coulisses. Il est tout simplement impossible de nous suivre partout 24h sur 24".
Autrement dit, tous les petits rendez-vous, tous ces moments supposément intimes et romantiques censés renforcer la relation des candidats seraient totalement scriptées et calculés afin de permettre aux équipes de savoir quoi faire, quoi filmer...
Une déclaration étonnante ? Oui, mais peu surprenante. Alors même que MAPR semble lui avoir permis de rencontrer la femme parfaite, ce qui est à priori le principal, ce n'est pas la première fois qu'il regrette un montage peu naturel et loin de la réalité vécue par le duo au cours de l'aventure.
Il y a quelques semaines déjà, Fabrice n'avait pas caché son agacement en découvrant la disparition à l'écran de certains moments qu'il estimait pourtant important et fondateur pour le couple. "Je suis triste... Triste car les choix éditoriaux m'ont privé de deux moments intimes et forts en émotions filmés par l'équipe de Mariés au premier regard avant notre mariage avec Anabel", avait-il balancé, avant d'ajouter avec humour, "Je lance donc une alerte enlèvement".
De même, il ne s'était pas gêné pour critiquer l'orientation du montage au sujet de sa personnalité et de sa vie : "Ils en font des caisses et des caisses. La production a créé un personnage caricaturé de moi-même. On verra si la suite est plus juste".