Carla Buni Sarkozy : après la naissance de Giulia ? "J'étais juste horrible"
Publié le 2 mai 2013 à 19:10
Par Charlotte Vaccaro | Journaliste - chef de rubrique Actu
Carla Bruni-Sarkozy n'a pas été épargnée par les médias et par les internautes après la naissance de sa fille Giulia, en octobre 2011. Et ces critiques sur son poids, la femme de Nicolas Sarkozy est loin de les avoir oubliées, comme elle l'a confié au magazine Vanity Fair. Une interview dans laquelle la chanteuse de 'Chez Keith' et 'Anita' n'hésite pas non plus à s'auto-clasher.
Carla Bruni n'a pas apprécié les critiques sur son poids Carla Bruni n'a pas apprécié les critiques sur son poids© Abaca
Carla Bruni, fragile après son accouchement
Carla Bruni a perdu tout son poids de grossesse
Carla Bruni n'a pas été épargnée après son accouchement
Carla Bruni et Nicolas Sarkozy, devant l'Elysée en mai 2012
Carla Bruni règle ses comptes avec les médias dans "Little French Songs"
Carla Bruni se trouvait "juste horrible" avec 20 kilos de plus
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Carla VS les vilains médias

Entre Carla Bruni et les médias, c'est loin d'être une grande histoire d'amour. La preuve ? Dans son dernier album "Little French Songs", dans les bacs depuis le mois dernier, l'ex Première dame règle ses comptes avec les vilains journalistes. Et dans Vanity Fair, la chanteuse de Mon Raymond en rajoute une couche sur la presse. En cause, les articles peu flatteurs sur son physique après la naissance de Giulia. "Ils disaient que j'étais grosse. Ils étaient vraiment méchants. Ils n'avaient aucune limite", accuse l'ex mannequin.

"J'étais simplement horrible"

Mais la femme de Nicolas Sarkozy n'est pas non plus tendre avec elle-même. Dans Vanity Fair, elle confie : "C'était un moment très fragile dans ma vie. Je suis plutôt grande, avec des épaules assez larges, alors quand j'avais 20 kilos de plus, je n'avais pas seulement l'air grosse - J'étais juste horrible". Et d'ajouter : "Ce n'est pas facile d'avoir un enfant quand on est plus âgée".

Visiblement marquée par cette période, la "copine" de Lana Del Rey se souvient également de la campagne présidentielle quand, "morte" de fatigue, elle devait "accompagner [son] mari". "Tout ça au moment même où j'aurais supplié pour qu'on ne me photographie pas. C'était comme mener une guerre", ajoute Carlita. Dit comme ça, on dirait qu'elle ne regrette pas trop l'Elysée...

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