Alors que Doctor Foster est terminée depuis 2017, son adaptation française Infidèle, elle, touche à sa fin ce soir avec deux épisodes qui s'annoncent intenses et qui espérons, répondront aux questions que l'on se pose depuis le début : Emma (Claire Keim) va-t-elle quitter son mari Mattéo (Jonathan Zaccaï) ? Va-t-elle se venger de Candice, la maîtresse jouée par Chloé Jouannet ? Ou va-t-elle tout simplement pardonner son époux ? Affaire à suivre du coup. En attendant d'en savoir plus, les téléspectateurs s'interrogent sur la possibilité d'une saison 2 sur TF1.
Il y a de fortes chances que Infidèle soit renouvelée puisque Doctor Foster a eu le droit à une saison 2 qui s'est achevée en octobre 2017 en Angleterre. Pour le moment, rien n'a été annoncé officiellement, mais au vu des confidences de Jonathan Zaccaï, le doute reste peu permis : "Je pense que l'on va faire des changements par rapport à la saison 2 de la série anglaise, qui était plus trash. On partira dans une autre direction. C'est un peu La guerre des Rose et ça peut durer longtemps", a avoué l'acteur en interview avec Allociné.
Des changements que Claire Keim envisage aussi comme elle le confie au même média que son partenaire à l'écran : "C'est surtout une intuition. Mais la saison 2 est peut-être un peu trop radicale pour Gemma dans ce qu'ils lui font faire. Ils ont un peu perdu le personnage je trouve..." Il faut dire que la suite de la série britannique offre de nombreux rebondissements assez dramatiques et assez poignants.
Si Infidèle hérite d'une saison 2, elle risque bien d'être assez différente de celle de Doctor Foster puisque selon la chérie de Bixente Lizarazu, les deux séries n'ont pas grand chose à voir : "Suranne Jones est une actrice que j'adore, mais qui est très différente de moi. On ne dégage pas du tout la même chose et ça en dit long sur ce qu'on voulait faire je crois (...) L'affaire ne résonne pas de la même façon dans la petite communauté anglaise où tout le monde s'épie à longueur de journée, où les femmes doivent toutes renvoyer l'image de mères parfaites, un peu à la Desperate Housewives. Ce n'est pas quelque chose qui existe chez nous, ce n'est pas dans notre culture. On est plus individualistes, moins rassemblés en communautés."