Le week-end dernier, Joey Starr jouait les têtes brûlées, avec les forces de l'ordre belges cette fois-ci, après s'être vu refuser l'entrée d'une boîte de nuit liégeoise. Cette attitude violente lui a valu une garde à vue, libéré dans la matinée qui a suivi l'altercation. Un séjour de courte durée que l'acteur de Max a pourtant très mal vécu.
Lorsque le grand rival du groupe Sexion d'Assaut est retourné à son hôtel, celui-ci aurait littéralement fondu en larmes, à l'abri des regards indiscrets. C'est en tout cas ce qu'affirme SudPresse, entré en contact avec un proche de l'artiste qui l'a accueilli. "Quand il est rentré à l'hôtel après avoir été libéré, il s'est effondré en larmes. Je ne l'avais jamais vu pleurer. Il m'a dit qu'il avait beaucoup pensé à ses enfants" a déclaré cette source.
Et selon Joey Starr, les policiers belges n'auraient pas été tendres avec lui. "J'ai déjà passé plus de temps en garde à vue qu'en prison, j'ai déjà reçu des coups, mais comme ça, jamais, même de la police française" a-t-il expliqué à son confident, blessures au visage à l'appui. Il aurait également affirmé : "J'étais menotté, je ne pouvais pas réagir. Mais ils me criaient quand même de ne pas bouger et me frappaient."
Victime ou mise en scène ? Espérons pour le rappeur qu'il se remette de cette épisode d'ici le 17 juillet prochain, à l'affiche des Francofolies 2013 de Spa.