Ouf. Hier soir pendant les NMA 2015, aucune chaise n'a volé. Ce coup-ci, Justin Bieber s'est tenu à carreau... enfin presque. L'interprète de What do you mean s'est tout de même fait désirer par les téléspectateurs et le public comme vous pouvez le voir avec la vidéo disponible dans le diaporama. Traduction ? Il s'est pointé en retard sur scène. Nikos Aliagas a pourtant tenté de combler le vide en lançant : "Justin Bieber arrive dans quelques secondes, le temps de faire un peu monter la pression !". Mais, même après le lancement du magnéto, toujours pas de Bieber en vue. L'ancien présentateur de la Star Academy a alors attiré l'attention sur les fans du web : "C'est un événement sur Twitter. Plus de 592.000 messages autour de Justin Bieber". Et, heureusement, le chanteur a fini par arriver, acclamé par le public.
Un retard remarqué, mais qui n'a pas fait un énorme buzz sur les réseaux sociaux, contrairement à son coup de sang devant ses fans sur la terrasse de l'hôtel Carlton, quelques heures avant le direct des NMA. Le blogueur américain Perez Hilton n'a pas hésité à publier la vidéo de la colère de l'ex de Selena Gomez sur Twitter. Ce post lui aura valu une réponse du Biebs himself : "Mdr. Personne ne s'énerve mec . Mon pote venait juste de m'annoncer une triste nouvelle personnelle. Ne ment pas s'il te plaît". Un post retweeté 25 000 fois. Puis il a ajouté à l'adresse de ses fans : "N'écoutez pas ce que peuvent dire les médias. Vous voulez me connaître moi, ce que je ressens. Vous trouverez tout cela dans mon album / mon nouvel album Purpose sort vendredi prochain".
En attendant, Justin, la casquette enfoncée sur le crâne, aura fait sensation sur la scène du Palais des Festivals à Cannes. Il a enchaîné les pas de danse, les mains tendues à gogo, les sourires à tout va. Le chanteur canadien a même tenu à rendre hommage à ses fans lors de la remise de son trophée d'honneur, visant à récompenser sa carrière. Une manière de se rattraper pour son comportement quelque peu agressif, ces dernières semaines. Les fans, le nerf de la guerre on vous dit.