Les Profs, Fiston, Soda... ce n'est pas encore aujourd'hui que Kev Adams jouera un autre rôle qu'un lycéen (presque) comme les autres. La raison ? Un public très jeune qui le suit partout, le "forçant" à ne pas trop s'en éloigner pour continuer à surfer sur ce succès. Et s'il a récemment déclaré être prêt à faire évoluer son image, il a affirmé à Ardisson être fier de son public : "C'est un public kiffant les jeunes. Ils mettent l'ambiance dans les salles. Ils ont encore la force de bouger, pas comme dans les concerts de Frank Michael."
Et alors que l'animateur lui rappelle que ses fans sont aussi ceux qui écoutent One Direction, l'humoriste prend surtout ça comme un compliment : "Ca s'écoute. Moi je te le mets et je te dis que ce n'est pas du One Direction tu vas me dire 'Putain c'est pas mal ce petit groupe anglais'. Donc ouè, j'ai pas honte d'être comparé à ce genre d'artistes." En même temps, qui ne rêverait pas d'avoir la même carrière, le même compte en banque et les mêmes conquêtes qu'Harry Styles ?
Enfin, cette interview a également permis à l'humoriste de livrer un secret de famille. S'il connaît un joli début de carrière, il le doit à son grand-père : "Vivant à Tunis, il faisait des spectacles de rues. Il adorait ça. Et quand on est rentré en France, évidemment il ne faisait plus ça du tout. Et ça lui manquait. Du coup, il a essayé de nous inculquer cette culture du spectacle improvisé. Parfois, on était chez lui dans le salon et il nous disait 'Allez hop on y va. Toi tu seras Johnny Hallyday, toi tu seras Michel Sardou...' Et moi j'ai grandi là-dedans, alors forcément le spectacle a toujours été synonyme de fête pour moi."