Les Bleus 2018, au coeur de l'épopée russe : Pogba leader, parfum d'Umtiti... les moments marquants

Publié le 18 juillet 2018 à 10:15

Par Marion Poulle

Deux jours après avoir été sacrés Champions du monde, les joueurs de l'Equipe de France étaient au coeur d'un documentaire diffusé sur TF1 : "Les Bleus 2018, au coeur de l'épopée russe". Les Français ont ainsi pu découvrir les coulisses des hommes de Didier Deschamps en Coupe du Monde. Entre les discours musclés de Paul Pogba, le parfum de la victoire de Samuel Umtiti, plusieurs séquences ont marqué les téléspectateurs.

Les Bleus 2018, au coeur de l'épopée russe : Paul Pogba, Samuel Umtiti... les moments marquants © TF1

Les Bleus étaient encore à l'honneur ce mardi 17 juillet 2018. Champions du monde depuis ce dimanche 15 juillet, Antoine Griezmann, Paul Pogba, Benjamin Pavard, N'Golo Kante et les autres joueurs de l'Equipe de France faisaient l'objet d'un documentaire sur les coulisses des Bleus durant la Coupe du Monde 2018 : "Les Bleus 2018, au coeur de l'épopée russe", diffusé ce mardi soir sur TF1. Un documentaire que de nombreux téléspectateurs ont suivi, les étoiles encore plein les yeux, mais aussi les footballeurs de l'Equipe de France.

Les Bleus 2018, au coeur de l'épopée russe : Paul Pogba, Samuel Umtiti... les moments marquants

Les discours musclés de Pogba

S'il n'est pas le capitaine de l'Equipe de France, Paul Pogba est un véritable leader dans l'âme, en plus d'être un showman, comme on a pu le voir à l'Elysée. Il a su motiver son équipe tout au long de la compétition, et notamment avant le match face à l'Argentine : "Messi on s'en bat les couilles", a-t-il lancé à ses coéquipiers dans les vestiaires, répétant qu'il ne voulait pas rentrer à la maison. "On veut voir des guerriers sur le terrain aujourd'hui ! Ce soir je rentre pas. Demain je ne veux pas rentrer. On reste encore à l'hôtel. On va encore bouffer ces p*****s de pâtes sautées. Aujourd'hui, on rentre PAS chez nous !".

Juste avant la finale, la star de Manchester a récidivé : "Les gars, on est peut-être à 90 minutes d'écrire l'histoire. 90 minutes. On en a fait je sais pas combien des matchs dans notre carrière. Là c'est un match, et ça change toute l'histoire. Il y a deux équipes, il y a une coupe. On a perdu une finale, on le sait, on l'a encore ici, on l'a encore là, on l'a dans la tête. Aujourd'hui, on ne va pas laisser une autre équipe prendre ce qu'il y a à nous. Je veux que ce soir, on soit dans la mémoire de tous les Français qui nous regardent. Leurs enfants, leurs petits-enfants et leurs petits-enfants encore. Il y a 90 minutes pour rentrer dans l'histoire à vie." Des discours musclés qui ont eu leurs effets !

Le parfum de la victoire de Samuel Umtiti

Lors de la mi-temps du match face à la Belgique, Samuel Umtiti a une technique bien particulière pour se motiver : se mettre du parfum. "C'est le parfum de la victoire", explique alors le défenseur à la caméra. Et effectivement, à la 51e minute, il met un but de la tête sur un corner frappé par Antoine Griezmann. Efficace ce parfum !

Les sermons de Didier Deschamps

Durant toute la Coupe du Monde, Didier Deschamps a tenu le rôle de papa, voire de prof. Sévère mais encourageant, il a su dire quand ça n'allait pas, comme après France-Australie, où il a passé la leçon à ses joueurs. Kylian Mbappé n'a pas été épargné et lui-même reconnaît que c'était mérité.

Mais une séquence a fait rire les internautes : celle où les Bleus font une tournante au ping-pong, avant de subir les foudres de leur entraîneur : "Vous ne pouvez pas jouer au ping pong normalement au lieu de tourner autour ? Vous en plus !? C'est pas sérieux, moi une fois j'ai fait ça, je me suis fait le mollet...". Heureusement, les Bleus l'ont plus écouté pour les matchs que pour le ping-pong...

Le fair play de Cavani

Suite à la défaite de l'Uruguay en quart de finale, Edison Cavani est carrément venu dans le vestiaire des Bleus pour féliciter Kylian Mbappé, Presnel Kimpembe et Alphonse Areola, ses coéquipiers à Paris, ainsi que tous les autres. Il a même offert son maillot à Areola... la grande classe ! Rien à voir avec Thibault Courtois, meilleur mauvais perdant de cette Coupe du Monde...