La bienveillance n'aura malheureusement pas duré très longtemps. Un mois seulement après la disparition de Jean-Pierre Pernaut - le journaliste de TF1 est décédé le 2 mars 2022 à l'âge de 71 ans des suites d'un cancer, sa fille Lou Pernaut est aujourd'hui la cible de critiques et attaques de la part d'internautes mal intentionnés.
Tandis que la jeune femme de 19 ans partage habituellement son quotidien sur ses réseaux sociaux, celui-ci ne semble pas faire plaisir à certaines personnes. A l'occasion d'une story publiée sur Instagram ce week-end, Lou a en effet dévoilé le genre de messages qu'il lui arrive désormais de recevoir sous ses post ou en MP. "C'est bien vous n'avez pas trop l'air de souffrir de la perte de votre père !?", pouvait-on ainsi y lire.
Un énième jugement de son deuil aussi déplacé qu'honteux qui a donc motivé la fille de Nathalie Marquay à réagir. Dans un premier temps et à l'instar de nombreuses autres influenceuses, Lou a tenu à rappeler un détail crucial : les réseaux sociaux ne reflètent en rien la réalité, "Ce que je vous montre sur le réseau n'est pas forcément ce que je ressens dans la vraie vie." Aussi, elle l'a précisé, "M'envoyer ce genre de message ne fait que compliquer mon deuil et je vous prierai de ne plus m'en envoyer dorénavant car ça me rend vraiment mal."
Puis, après avoir tapé du poing sur la table en déclarant aux possibles haters cachés dans l'ombre, "C'est la dernière fois que je tolère ce genre de remarques déplacées", la fille de l'emblématique présentateur du JT de 13h a dévoilé la réponse qu'elle venait d'envoyer à son nouveau troll, "J'aimerais savoir d'où vous pouvez vous permettre de juger sans me connaître ainsi que d'émettre un avis sur des vidéos Instagram que vous ne voyez qu'à travers votre écran. On ne montre pas forcément la réalité lorsqu'on fait des stories." Elle ajoutait plus loin, "Si ma manière de faire mon deuil ne vous convient pas, je vous incite alors à me bloquer mais ne surtout pas m'envoyer de tels messages sachant que vous savez très bien que ce sujet me fait souffrir."
Le message est passé et on espère qu'il sera entendu.