Valérie Trierweiler met de l'eau dans son vin. Dans une interview pour le quotidien Ouest-France, la compagne de François Hollande a en effet admis que son message Twitter sur Ségolène Royal était une erreur. Mais ce n'est pas tout. Alors que Bernadette Chirac, femme de l'ex Président Jacques Chirac, a assuré sur RTL qu'il n'était "pas convenable" pour une Première dame de présenter une émission de télé, la journaliste a également affirmé comprendre la polémique autour de son éventuelle participation à D8, la nouvelle chaîne de la TNT.
L'affaire du tweet
Valérie Trierweiler veut-elle enfin enterrer la hâche de guerre avec Ségolène Royal ? Alors que ses relations tendues avec l'ex de François Hollande ne cessent de faire le buzz, l'actuelle compagne du Président de la République assure regretter son tweet du mois de juin dernier.
Comme Carla Bruni, Valérie Trierweiler est en effet une Première Dame 2.0. Et, en pleine campagne des législatives, elle avait créé la stupéfaction avec 140 caractères, en soutenant sur Twitter le candidat dissident Olivier Forlani contre Ségolène Royal. Mais avec le recul, la journaliste réalise sa bêtise : "C'était une erreur que je regrette". Et de préciser : "J'ai été maladroite puisque cela a été mal interprété. Je n'avais pas encore réalisé que je n'étais plus seulement une simple citoyenne. Cela ne se reproduira pas".
Et si de nombreux médias ont indiqué que François Hollande n'avait pas apprécié le tweet de sa compagne, Valérie Trierweiler refuse de donner plus de détails au journal Ouest-France : "Quant à ce que, François et moi, nous nous sommes dit, cela relève des 'affaires privées' et restera donc privé !" Voilà qui est clair.
La polémique D8
Autre sujet de polémique pour Valérie Trierweiler : une éventuelle participation à la nouvelle chaîne D8 (ex Direct 8, et sur laquelle on retrouvera Cyril Hanouna mais aussi La Nouvelle Star). La journaliste comprend le problème, au point de renoncer à une quelconque émission.
La Première Dame explique tout d'abord avoir évoqué avec D8 "des ébauches de projets, mais pas une émission régulière", puis ajoute : "Je comprends que, pour certains, être la compagne du Président et travailler pour une chaîne de télévision puisse susciter des interrogations voire un trouble, c'est pour cette raison que je ne donne pas suite".
Par contre, Valérie Trierweiler ne compte pas pour autant faire une croix sur le métier de journaliste. Paris Match, elle y est "depuis 22 ans", et elle y reste. En charge d'"une chronique littéraire qui n'a rien à voir avec la politique", cette mère de famille tient à son salaire. Première Dame oui, mais indépendante !