Le vendredi 31 mars 2023, Le Parisien a révélé que Marlène Schiappa allait faire la Une de Playboy sans qu'elle en ait averti au préalable Elisabeth Borne. De quoi plonger davantage dans l'embarras le gouvernement d'Emmanuel Macron , déjà confronté à une crise sociale sur les retraites...
Cette initiative de la secrétaire d'Etat chargée de l'Economie sociale et solidaire a provoqué de vives réactions. Alors qu'elle a fait halluciner jusque dans son propre gouvernement, la ministre s'est attiré les foudres de l'opposition. Jean-Luc Mélenchon a estimé qu'entre "Macron dans Pif Gadget et Schiappa dans Playboy, la France déraille"...
Afin de commenter cette Une, Cyril Hanouna a reçu Jean-Christophe Florentin dans TPMP le lundi 3 avril sur C8. Le directeur de publication de Playboy s'est livré à une incroyable révélation. Il a confessé qu'une autre personnalité politique était prête à faire la Une de son magazine. Et surprise, il s'agit de Jean-Luc Mélenchon ! Alors que l'animateur lui indiquait que le leader de La France Insoumise "n'était pas content", il a lâché : "Jean-Luc Mélenchon était d'accord pour aller dans Playboy !".
"C'est un scoop ! Alors Jean-Luc, si tu nous écoutes, je t'ai encore envoyé un SMS tout à l'heure. On attend ta réponse !", a-t-il ajouté. De quoi provoquer la stupéfaction de Cyril Hanouna et ses chroniqueurs. Pour appuyer ses dires, Jean-Christophe Florentin n'a pas hésité à montrer à l'animateur star de C8 l'échange qu'il avait eu avec Jean-Luc Mélenchon.
"Il a failli le faire. L'été dernier, on devait faire l'interview de Jean-Luc Mélenchon. Au dernier moment, il nous a planté. Et c'est normalement partie remise... Je lui ai encore envoyé un SMS cet après-midi : Jean-Luc, j'attends ta réponse !", a expliqué le directeur de publication de Playboy. "Et lui, c'est un génie, il va peut-être dire oui...", a commenté Cyril Hanouna, qui a répondu à la polémique autour de la présence de membres de la Brav-M sur le plateau de TPMP, tandis que Valérie Bénaïm assénait : "Vous voyez, quand on parlait d'hypocrisie... Pardon, mais là, c'est l'illustration...".