En début de semaine, Vincent Miclet accusait Ayem Nour - son ex-femme, d'avoir enlevé leur fils. Sur ses réseaux sociaux, le père d'Ayvin déclarait notamment, "Lundi matin, après avoir déposé mon fils à l'école américaine, sa maman Ayem Nour en complicité avec sa mère Farida l'a enlevé de l'école sans mon consentement (...). Une plainte a été déposée aux autorités marocaines." Puis, il l'assurait, l'ancienne candidate de télé-réalité aurait fait ça par vengeance après qu'il lui a "coupé sa petite pension de 5K avec laquelle elle paye ses dettes et le loyer de sa maison de campagne".
Des accusations graves qui ont rapidement bouleversé le monde people, auxquelles Ayem vient officiellement de réagir. Tandis que Purepeople avait préalablement dévoilé une version différente des propos de Vincent Miclet - l'ancien couple aurait en réalité convenu d'une garde alternée, une semaine sur deux alors même qu'Ayem a gagné judiciairement la garde) et l'homme d'affaires aurait subitement refusé qu'elle le récupère cette semaine, la mère de famille a dévoilé ce mercredi 16 novembre 2022 sa version de l'histoire auprès de TPMP.
Invitée à distance à réagir sur cette affaire, l'ex-chroniqueuse a dans un premier temps confessé que sa relation actuelle avec le père de son fils était "chaotique", menée notamment par du "chantage, des menaces, de la dictature, du harcèlement psychologique." Une situation qui durerait depuis des années et qui aurait donc atteint un point de non retour cette semaine.
"A l'heure où je vous parle, je suis bloquée au Maroc avec mon fils parce qu'il ne souhaite pas restituer le passeport de mon fils, a-t-elle déploré. Je vis un cauchemar, je suis enfermée dans ma chambre, je suis en panique, j'ai peur qu'il débarque qu'on en vienne aux mains."
Une épreuve qu'elle vit logiquement extrêmement mal, "C'est très compliqué", la faute notamment à un sentiment d'impuissance constant. Après avoir rappelé, "Les lois ici ne sont pas les mêmes", Ayem a révélé que son ex-mari serait quasiment intouchable sur place, "C'est quelqu'un de très important financièrement. Il me fait énormément de chantage avec ça en me disant constamment : 'je suis un homme de pouvoir, j'ai une armée d'avocats, j'ai beaucoup d'argent, tu ne feras pas le poids, je vais t'enlever l'enfant...' (...) J'ai un enfant qui est Français, je suis Française, l'enfant vit en France depuis six ans. J'ai des décisions de justice [en sa faveur], monsieur a fait appel mais j'ai quand même eu la garde. Là, il détient le passeport de mon enfant illégalement. (...) J'ai peur pour la suite parce que je sais que c'est un homme procédurier qui a énormément de moyens et de contacts."
Aussi, alors même que cette situation n'aurait selon elle jamais dû exister, "Il a porté plainte pour enlèvement d'enfant, mais il n'y a aucun enlèvement puisque j'ai la garde", Ayem s'avoue fatiguée et apeurée pour elle et la suite des événements, "J'ai peur évidemment parce que, même si j'arrive à rentrer en France avec mon fils, il ne cessera... Ca fait 5 ans que ça dure, les procédures, et qu'il me fait des menaces, du chantage."
"C'est de la pression psychologique et du harcèlement psychologique. D'ailleurs, je me demande même comment je me suis pas encore suicidée avec tout ce qu'il me fait depuis des années, a-t-elle ajouté, bouleversée. Je n'en peux plus ! (...) Je suis épuisée. Je n'ai pas besoin de la peine et de la pitié. Je voudrais juste qu'on me laisse rentrer tranquillement avec mon fils..."