La guerre est déclarée entre Maeva Ghennam et Magali Berdah. Souvenez-vous, il y a quelques semaines, la star des Marseillais avait déjà annoncé qu'elle mettait fin à sa collaboration avec son agent de toujours.
"Pour moi, mes principes, mes engagements passent au-dessus d'un contrat... Je n'arrive plus, tout ce qu'il se passe dans le monde me fait trop de mal. Il faut faire des choix, je les ai faits, ça me brise le coeur, mais c'est le mieux pour toutes les 2. Elle défend les siens et c'est tout à son honneur, et les miens passent avant un contrat... Je vais tout vous expliquer. Laissez-moi du temps, parce que ce n'est vraiment pas facile pour moi", avait-elle confié, faisant référence à leurs idées divergentes concernant le conflit Israëlo-Palestinien.
Ce dimanche, Maeva n'a pas pu s'empêcher de péter un câble en découvrant que Magali était en Israël. "Je suis énervée contre la grosse sal*pe de Magali Berdah (...) J'ouvre mon téléphone et je vois quoi ?! 'Oh je suis en Israël', en train de soutenir ces meurtriers qui tuent des Palestiniens tous les jours ! À moi, elle me faisait croire qu'elle n'était pas d'accord avec ce qu'il se passait en Palestine. Et là, la grande dinde, elle va soutenir ces meurtriers ! Tu vas me rendre mes sous, au centime près ! [...] Et qu'elle me ramène son armée d'avocats comme elle a fait à Booba, je vais l'éteindre, je vais lui mettre une fin de carrière. (...) Espèce de clocharde ! Tout ce qui t'arrive, c'est bien fait", s'est énervée celle qui a été accusée de se radicaliser.
"On n'est pas dans une dictature. Personne ne va m'interdire d'aller en Israël, je suis toujours allée en Israël (...) Tu peux me menacer de tout ce que tu veux, je ne suis plus à ça près. Si ça te fait plaisir de divulguer de la haine parce que je suis venue en Israël alors que j'en ai le droit... C'est juste hallucinant. Ce n'est pas marqué que c'est interdit de venir en Israël d'ailleurs. [...] Les victimes, qu'elles soient juives ou musulmanes, ce sont des victimes. Il faut respecter les deux. [...] Si ça te fait plaisir de m'enterrer, je ne suis plus à ça près", lui a répondu la boss de Shauna Events, par story interposée.
"Tu es en train de soutenir des personnes qui tuent des innocents, j'ai la haine. Et moi quand j'ai la haine, je ne suis pas une hypocrite comme toi, je n'arrive pas à faire semblant. Et soi-disant, tu n'as plus d'argent. Moi, tu me dois de l'argent et tu m'as dit que tu me le rendrais quand tu l'aurais, et moi je t'ai dit de prendre ton temps. Soi-disant tu n'as plus d'argent, mais tu as de l'argent pour te payer des billets d'avion pour aller en Israël... Alors rends-moi mes sous. Rends mon argent", s'est de nouveau agacée Maeva.
"N'oublie pas la fausse tentative de suicide que tu m'as faite quand j'ai tout découvert, quand je suis partie de chez toi. J'ai toutes les preuves. Elle m'a fait du chantage affectif, je peux vous sortir toutes les preuves. Après sa fausse tentative de suicide, elle a voulu me faire un virement, j'ai refusé parce que je ne suis pas une mauvaise. Je pensais que c'était mon amie, mais moi, je ne suis pas amie avec des gens qui cautionnent un génocide, jamais de la vie", a-t-elle poursuivi, toujours autant agacée.
De son côté, Milla Jasmine a également pris la parole sur les réseaux sociaux et a profité du conflit entre Maeva Ghennam et Magali Berdah pour, elle aussi, réclamer de l'argent à son ancien agent.
"Quand je vois qu'elle a de l'argent pour dépenser dans un mariage à 400 000 euros, pour aller chez Dior y'a deux jours et maintenant voyager... Alors qu'avec moi, elle fait la miskine quand il s'agit de me payer et de me rendre mon argent. Là, pourtant, t'as des sous ! Rends-moi mon argent !", a demandé celle qui n'en peut plus des rumeurs de fausse grossesse.
Décidément, dans ce milieu, on peut très rapidement passer de meilleure amie à pire ennemie !