A priori, être chroniqueur dans une émission comme TPMP, ce serait le job parfait pour devenir le BFF de son banquier. Comme le confiait Cyril Hanouna en septembre dernier, son équipe toucherait entre 300 et 500 euros par tournage. Parfois plus selon le statut de ses cadres.
Autrement dit, à raison d'au minimum 4 soirées par semaine pour un cachet de 300€ (sachant que l'émission est désormais étendue le WE), un chroniqueur pourrait facilement repartir avec un salaire de 4 800 euros par mois. Pas mal quand on sait qu'il s'agit juste de parler pendant 3/4 heures autour d'une table.
Pourtant, si ce salaire est déjà très confortable et s'ajoute aux autres carrières (passées ou présentes) des chroniqueurs - certains comme Bernard Montiel ou Valérie Benaïm ont pu profiter d'anciens jobs sur TF1 pour amasser beaucoup d'argent, la situation financière de tous ne serait pas toujours très glorieuse. C'est ce qu'a confessé Danielle Moreau ce mardi 30 avril 2024.
Malgré une longue carrière dans les médias, que ce soit à la télé (Interville sur TF1, C'est au programme sur France 2) ou à la radio (Fou du Roi/A la bonne heure sur RTL / Samedi en France sur Europe 1), la journaliste serait loin d'être la plus heureuse. Attention, elle n'a aucunement l'intention de se victimiser, "Je suis beaucoup plus riche que la moyenne donc je ne me plains pas", mais elle l'a tout de même assuré, la réalité serait moins jolie qu'on ne l'imagine. "Je suis dans la merde quand même, mais je suis riche", a-t-elle soufflé.
Comment est-ce possible ? Si Danielle Moreau a une nouvelle fois tenu à préciser qu'elle n'avait pas vocation à se plaindre, "Je suis beaucoup plus riche que beaucoup de gens et j'ai beaucoup de chance", elle a malgré tout rappelé que sa vie actuelle était marquée par un triste drame personnel, "J'ai trop de dépenses obligatoires, sinon je serais hyper à l'aise".
Et pour cause, la chroniqueuse de TPMP est aux petits soins de sa mère, atteinte de la maladie d'Alzheimer. Or, si elle révélait à l'automne dernier être contente de pouvoir subvenir à ses soins médicaux, elle rappelait qu'ils étaient loin d'être anecdotiques. Au contraire, le coût des aides à domicile creuserait un véritable trou dans ses finances, ce qui l'empêcherait aujourd'hui d'être pleinement sereine.