Si elle s'affichait en larmes sur Snapchat peu de temps après avoir annoncé son départ du Mad Mag de NRJ12, c'est tout sourire que Aurélie Van Daelen a accordé une interview à Jeremstar. Pourtant, elle n'éprouve pas moins de colère vis-à-vis de ses anciens collègues et employeurs.
L'ancienne candidate de Secret Story est revenue sur la mauvaise ambiance qui régnait en coulisses : "En télévision, ils veulent toujours de la bonne humeur. Fallait vraiment qu'on soit tous souriants. Moi, on me demandait dans l'oreillette d'arrêter de faire la gueule et d'être contente (...) Y'a des moments, j'avais envie de foutre un coup de pied à cette caméra et me casser. Je n'en pouvais plus de cette ambiance, je ne la supportais plus. C'était trop trash. [...] Je n'étais pas du tout à ma place, je détestais y aller."
Elle dénonce ensuite avoir subi le favoritisme des producteurs envers certains de ses collègues, et notamment Aymeric Bonnery. "C'est très très dur d'aller bosser et de se dire qu'on va te prendre pour une conne parce que les autres ce sont des dieux et toi t'es qu'une petite m****".
Elle révèle même avoir reçu des textos menaçant de sa part : "Il faut savoir qu'il y a eu des moments très très durs avec Aymeric. Aymeric m'a quand même menacé. Il m'a envoyé des messages de menaces alors que j'étais chez moi. Il m'avait fait une vanne sur mon physique en direct, j'avais répondu sur Twitter. Il n'avait pas aimé ça alors il m'avait envoyé des messages en me disant 'tu vas voir, la direction va trancher, tu vas perdre ton emploi, je vais aller les voir !' Sur le coup, j'en ai pleuré. La direction a été au courant, ils ont dit que ce n'était pas grave et qu'il ne devait pas s'excuser. Tout ça c'est fake et tout ça je ne le supportais plus.", avoue-t-elle.
La maman du petit Pharell ne supportait plus non plus le comportement de certains de ses collègues, prêts à tout pour garder leur place, même à devenir pote avec Aymeric : "Il y en a plein dans l'équipe qui ne pouvaient pas le piffrer et qui le traitaient de bouffon et finalement, ils sortaient avec lui. Ça me rend dingue de voir que c'est un monde de faux-jetons !".