Etre une star, c'est loin d'être facile tous les jours. Sur les réseaux sociaux, dans la presse ou bien même en face à face, certains sont victimes de violentes critiques sur leur physique. Billie Eilish est souvent la cible de haters qui ne trouvent rien de mieux que de critiquer son corps et elle leur a répondu plusieurs fois. La chanteuse de 19 ans s'est aussi confiée sur ce sujet dans son titre Not My Responsibility, extrait de son album "Happier Than Ever", dispo depuis le 30 juillet 2021. Dans une autre chanson, Overheated, elle dénonce aussi les personnes qui mettent en avant des normes corporelles inatteignables sur les réseaux.
Comme tout le monde, Billie Eilish a des complexes et s'est confiée à ce sujet dans une interview donnée à The Guardian. La chanteuse dénonce notamment l'image parfaite que donnent certaines personnes via des photos retouchées. Des images qui peuvent la miner. "Je vois des gens sur Internet à qui je n'ai jamais ressemblé. Et tout de suite je me dis, 'Mon Dieu, comment ils font pour ressembler à ça ?' Je connais cette industrie et je sais ce que les gens utilisent pour leurs photos et je sais que ce qui semble réel est faux. Et pourtant, quand je les vois, je me sens mal. Je veux dire, j'ai confiance en moi et je suis très heureuse dans ma vie... Mais évidemment, je ne suis pas heureuse de mon corps mais qui l'est ? (...) J'ai une relation horrible avec mon corps" a expliqué la star.
Malgré ses complexes, Billie Eilish a décidé de ne pas se soucier de ce que pensent les gens ou de l'image qu'elle renvoie. "Certaines personnes manquent tellement de confiance ou sont tellement mal à l'aise qu'ils ne bougent jamais d'une certaine façon, ne font jamais de grimaces car elles veulent à tout prix être parfaites. J'ai remarqué ça et ça me rend tellement triste. Si on se tient toujours d'une certaine façon, si on marche d'une certaine façon ou bien si on met ses cheveux comme ça... On perd tellement à essayer d'être parfait. C'est tellement une perte de joie et de liberté de son corps" explique-t-elle, toujours à The Guardian. Un exemple et une mentalité à suivre !