Si cette nouvelle saison de Koh Lanta est aussi fascinante que mouvementée, elle le doit notamment à Marc. Il faut dire que l'aventurier qui possède l'étiquette du "méchant" de l'émission n'a laissé personne indifférent de par son comportement, que ce soit les internautes, aventuriers, ex-candidat et même... Denis Brogniart.
Bien que l'animateur ne soit pas du genre à critiquer les candidats, il n'a pas hésité à remettre une nouvelle fois en place le finaliste lors d'une interview accordée à TVMag. La raison ? Il lui en veut encore pour ses récents spoilers dévoilés pour une simple mésentente avec la production : "Il était impossible de diffuser l'hommage à son frère, parce qu'entre-temps ce dernier était décédé. C'est une question de décence. Je comprends sa frustration, mais, lorsqu'il a 'spoilé', j'ai considéré que c'était une faute grave."
Cependant, si le présentateur culte est toujours vexé de ce comportement, il n'est en rien rancunier. Ainsi, alors qu'il précise : "Je l'ai appelé. Il en a convenu. Il s'en est excusé", il ajoute également que l'ancien jaune aura le droit à son moment lors du dernier prime : "Le jour de la finale, à un moment ou à un autre, il aura la possibilité d'évoquer son frère, qui lui a permis de vivre cette aventure". Tout est bien qui finit bien.
Toutefois, si Denis Brogniart semble ne pas véritablement en vouloir à Marc, ce n'est pas la même chose concernant Ella. Oui, il n'a pas du tout apprécié les accusations de tricherie de l'ancienne candidate dans son livre, se montrant particulièrement énervé lors d'une interview accordée au Parisien : "Ella qui n'a pas réussi à marquer le jeu de son empreinte lors de son passage. Quand elle affirme qu'un membre de la production a défait un noeud sous l'eau pour aider un candidat, c'est peut-être ce qu'elle croit avoir vu, mais c'est complètement faux. Vous savez, je me moque que ce soit Pierre, Paul ou Jacqueline qui gagne une épreuve. Pour moi, l'équité est la base du jeu et si un seul candidat se retrouvait favorisé, je quitterais l'émission immédiatement. Quant au manioc qu'elle nous accuse d'avoir planté pour leur venir en aide, ça fait des années que je le dis : quand il n'y a absolument rien à manger sur une île, nous plantons, trois ou quatre mois avant, des plantes locales comme le manioc, le taro ou la canne à sucre. On ne va pas laisser les candidats crever de faims !" Le message est passé...