Séance confessions (flippantes) pour EnjoyPhoenix dans sa dernière vidéo. Après s'être confiée sur son succès en avril dernier, la youtubeuse a décidé de revenir sur plusieurs rencontres avec ses fans... qui ont mal tourné. L'une d'entre elle a carrément viré au harcèlement : "J'étais dans un tel état que je ne voulais même plus faire des rencontres abonnés", se souvient-elle. Lors d'une séance de dédicaces à Brest suite à la sortie de son premier livre en 2014, elle a fait la rencontre d'un homme d'une quarantaine d'années qui lui a demandé de signer "Mon amour". "Deux jours plus tard je reçois un email et c'était littéralement une déclaration d'amour, détails compris, sur ce qu'il avait envie de me faire... Qu'il me trouvait très belle, qu'on était fait pour être ensemble, qu'il prévoyait de déménager à Lyon pour qu'on vive ensemble, qu'il avait déjà des projets de maison pour nous deux..." Un mail auquel elle n'a pas répondu.
Il a alors insisté et envoyé des DM sur Instagram à ses amis. C'est alors qu'a commencé le harcèlement, qui a duré presque 6 mois. Il lui donnait rendez-vous, lui achetait des cadeaux... "C'était un harcèlement continu, j'étais obligée de le bloquer sur les réseaux, mes amis ont été obligés de le bloquer aussi parce qu'il harcelait tout le monde... C'était arrivé à un stade où j'avais des nouvelles de ce gars tous les jours. Je flippais. Il s'était inventé une vie avec moi. Je me disais 'mais qu'est-ce que le gars fait derrière mes vidéos ?' La panique totale !".
La sécurité a même dû intervenir lors d'une séance de dédicaces à Aubagne à laquelle il s'était rendu pour lui crier qu'il l'aimait. Ce qui a déclenché une véritable crise de panique. Bien qu'il se soit fait sortir, cela ne l'a pas découragé et il a continué à la harceler par la suite. C'est le père de Marie Lopez qui a dû intervenir et lui envoyer un mail pour mettre fin au harcèlement. "J'ai vraiment eu très peur", confie celle qui vient d'emménager avec son petit ami Henri PFR. "Je me suis rendue compte que, quand on s'expose sur les réseaux sociaux, on peut attirer les pervers".