Soukdavone et Olivier Gayat font partie des parents stars de Familles nombreuses la vie en XXL. Leur participation à l'émission de TF1 a totalement changé la vie du couple, qui était à deux doigts de divorcer ces derniers temps. Olivier a pu quitter son travail et monter sa boîte, tandis que Soukdavone est devenue influenceuse. Ils ont maintenant un salaire très confortable et semblent surtout plus heureux que jamais entourés de leurs enfants. Mais tout cela n'a pas toujours été le cas ! En effet, les deux parents ont connu une enfance très difficile.
Dans une interview accordée à Jordan De Luxe pour Télé-Loisirs, Soukdavone avoue avoir connu des moment "un petit peu compliqués". Née au Laos, elle est arrivée en France en tant que réfugiée politique. "Mes parents étaient trop proches de nous, on ne pouvait pas sortir comme on voulait (...) On partait jamais en vacances, on était tout le temps chez nous, on n'avait pas trop de sous à la maison. On a été réfugié politique au début" explique celle qui était en guerre avec Amandine Pellissard, avant d'ajouter : "Quand on est jeune, on fait des bêtises, j'ai fugué de chez moi, à l'école, c'était pas évident, je n'avais pas mes parents qui me suivaient, mais je le comprends car ils n'étaient pas français".
Olivier Gayat, lui, révèle être né de "papa inconnu, je ne connais pas mon père" et a grandi dans la maltraitance : "Ce sont des voisins qui ont appelé la police car j'avais un beau-père très alcoolique. On vivait la chose très très mal, et j'ai une demi-soeur handicapée". Celui qui s'apprête à être grand-père pour la deuxième fois avoue ne jamais avoir eu l'envie de retrouver son père : "Pendant un moment, on me l'a souvent dit, mais je n'ai pas voulu. Je préfère rester comme ça, car ça peut être très bien avec un père merveilleux, comme ça peut être très pire". La seule chose qu'il sait sur lui est qu'il s'appelle lui aussi Olivier, "c'est pour ça que maman m'a appelé Olivier".
"Il faut savoir que je suis le tuteur de ma maman qui est un peu handicapée, elle est illettrée, elle a aussi beaucoup de problèmes mentaux, donc je m'en occupe beaucoup (...) je n'ai rien caché à mes enfants, y compris quand je suis mal parti, que j'ai fait beaucoup de bêtises, j'ai tout dit à mes enfants", explique le père de famille, avant de revenir sur son passé de délinquant : "c'était ma drogue, tous les jours il fallait que je vole, et j'avais personne derrière". Accusé de recel d'armes, il déclare avoir arrêté ses bêtises pour sa femme et ses enfants. "Les gendarmes sont venus chez moi pour chercher les armes, et ils m'ont dit que ma femme pouvait être complice, qu'ils allaient faire des enquêtes et m'enlever mes enfants, et du jour au lendemain, j'ai tout arrêté", conclut-il.