En cette rentrée 2023, Cyril Hanouna continue d'apparaître comme l'animateur vedette de C8. Alors que les voyants de son émission, TPMP, sont au beau fixe, il est confronté à une guerre interne...
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Celle-ci a été déclarée par Guillaume Genton. Via son compte Instagram, l'ex-animateur de la matinale d'Europe 2 a lancé de graves accusations contre l'un de ses camarades de Touche pas à mon poste. Il a affirmé que Nicolas Pernikoff lui serait redevable de factures impayées s'élevant à un total de 165 520,71 euros.
Dans le détail, la société Groupe Genton a décidé d'attaquer en justice No site et Five, toutes deux détenues par l'ancien directeur des programmes de flux de France Télévisions. "Ces sociétés, qui se présentent comme des entreprises sérieuses, et qui assurent la communication de nombreuses marques (René Futerer, Aderma, Ducray, Klorane) et qui produisent des émissions pour le service public (Silence ça pousse sur France 5), ne règlent pas leurs factures depuis plus d'un an et demi à de nombreux prestataires", a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Nicolas Pernikoff, accusé de "mettre en péril l'équilibre financier" de la société de Guillaume Genton, dénonce des "propos mensongers et dénigrants". "La société La nouvelle a collaboré par le passé avec la société Blondinet, dirigée par Guillaume Genton. En raison des difficultés qui ont frappé le secteur de la communication et de la publicité pendant et depuis la crise sanitaire, la société La nouvelle a demandé à bénéficier d'une procédure de sauvegarde afin d'apurer son passif dans les délais qu'accorde la loi", explique-t-il dans un communiqué publié ce dimanche 24 septembre sur le site Puremédias.
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L'ex-dirigeant de France Télévisions affirme que son camarade de TPMP a eu connaissance des difficultés rencontrées par sa société et a été invité à déclarer ses créances. Ce qui a été fait le 1er juin. "Il est donc surprenant qu'ainsi informés la société Blondinet et M Genton imaginent pouvoir utiliser des communiqués de presse agressifs pour bénéficier d'un traitement particulier sans se plier à la discipline collective qu'impose la loi. M Pernikoff et la société La nouvelle se réservent le droit d'agir en justice contre M Genton pour ses tentatives de dénigrement ayant pour seul objectif de nuire à la société, ses salariés et aux autres créanciers", conclut le communiqué.