Depuis ce mardi 16 janvier 2018, impossible de passer à côté du "JeremstarGate". Tout a commencé lorsqu'un certain "Aqababe" a accusé le blogueur de lui avoir volé son exclusivité sur Adrien Laurent et Shanna Kress des Anges 10. En guise de vengeance, il a ensuite balancé une vidéo intime de Jeremstar avant d'accuser l'un de ses proches, Babybel de son vrai nom Pascal Cardonna, d'avoir entretenu des relations sexuelles avec des mineurs pour leur faire rencontrer le spécialiste de la télé-réalité.
Très silencieux depuis la parution de ces accusations, Jeremstar, qui a suspendu son activité dans Les Terriens du Dimanche, vient enfin de réagir via un long communiqué publié sur Twitter : "j'ai été profondément bouleversé par les événements qui se sont produits ces derniers jours. L'émotion qui m'a envahi m'a jusque-là réduit au silence. Je vous prie de bien vouloir m'excuser", commence-t-il avant d'ajouter : "je suis abasourdi par les accusations dont je fais l'objet aujourd'hui."
Le blogueur poursuit son message en s'adressant indirectement à "Aqababe" : "un internaute manifestement en quête de notoriété a rendu publique une vidéo intime de moi. Vous avez été très nombreux à vous trouver confrontés à ces images à caractère pornographique (...) Cet acte, au-delà d'être odieux, est répréhensible sur le plan pénal et j'ai pris les mesures nécessaires pour qu'il soit puni en vertu de la loi."
Jeremstar avoue ignorer l'existence des témoignages balancés contre Babybel : "je n'ai jamais accepté et n'accepterai jamais que quiconque se prévale d'une quelconque proximité avec moi pour obtenir quoi que ce soit. Cette idée m'est absolument insupportable (...) si j'ai longtemps entretenu une relation amicale avec Pascal Cardonna, je tiens à préciser que je n'ai absolument rien à voir avec sa vie intime et que je suis totalement étranger aux imputations dont il fait l'objet, à supposer qu'elles soient démontrées."
Jeremstar compte bien faire appel à la justice après la parution de toutes ces calomnies : "je réfute absolument, fermement et définitivement chacune de ces accusations. Elles sont aussi gratuites que grotesques. La répétition en ligne de ces monstruosités infondées est une autre forme de cyberharcèlement qu'il m'est extrêmement difficile de supporter et qui est, elle aussi, sévèrement punie par la loi", confie-t-il avant de remercier sa communauté pour son soutien.