Cet été, Julia Paredes a donné naissance à Vittorio, son deuxième enfant. Une arrivée qui comble aujourd'hui de joie la star de l'émission Mamans & Célèbres, mais qui n'a pas été facile à vivre au début. Au contraire, la compagne de Maxime ne l'a jamais caché, elle a vécu un accouchement à la fois cauchemardesque et traumatisant. Et si elle tente désormais de tourner la page, elle a tout de même accepté de revenir sur cette épreuve lors d'une interview accordée à Purepeople.
Interrogée sur les coulisses de cette naissance, Julia Paredes a dans un premier temps rappelé le contexte, "Il est né cinq jours après le terme donc j'étais beaucoup angoissée. Et l'accouchement a duré très longtemps. On m'a déclenchée à 10h du matin et j'ai accouché le lendemain à 9h50". Une attente stressante, mais également douloureuse, "J'ai beaucoup souffert. (...) Quand on m'a déclenchée, le col ne voulait pas s'ouvrir."
Aussi, pendant de longues heures, la star de la télé-réalité s'est donc retrouvée prisonnière de son propre corps, incapable de contrôler quoi que ce soit, "Les vraies contractions sont venues le soir, mais le bébé ne descendait pas pour autant alors que j'étais dilatée à 10. On m'a fait pousser pendant quatre heures, je vomissais toutes les trente minutes." Et visiblement, ces conditions très difficiles étaient indirectement causées par le petit Vittorio, mal positionné dans son ventre, "Ses épaules n'étaient pas bien placées, donc le médecin l'a tourné pour que ses épaules descendent bien dans le bassin. Comme il a été bloqué pendant quatre heure, il avait une bosse énorme sur la tête, ce qui empêchait aussi qu'il descende".
Au final, tout s'est bien terminé pour le petit garçon, "tout allait bien pour lui", mais les complications se sont néanmoins poursuivies pour la maman, "ça m'a fait un énorme oedème. Il s'est infecté et au bout d'une semaine, on m'a dit qu'il faudrait peut-être opérer. On m'a donné antibiotiques sur antibiotiques et au bout d'un mois, ça s'est résorbé seul".
Et si Julia Paredes a ressenti un véritable soulagement en évitant cette inquiétante opération, elle reste encore très marquée par cet accouchement qui lui a fait vivre l'enfer, "Pendant un mois, je ne pouvais pas m'asseoir, c'était une catastrophe. Je tenais toute la journée pour ne pas craquer. Mais le soir quand les enfants étaient couchés, je pleurais de douleur tellement c'était insupportable."
Seul point positif à retenir de cette expérience, son couple - alors en danger, a peut-être survécu grâce à ça, "Je pense que ça nous a rapprochés avec Maxime." Comme quoi, les happy ending existent partout, même dans les moments les plus difficiles.