Alors que l'émission L'amour est dans le pré cartonne toujours autant sur M6, un ancien candidat est en train de mettre en garde les futurs participants. En effet, Guillaume Barbier, un agriculteur ovin présent dans l'émission en 2015, n'a pas retenu que des bons souvenirs de son expérience passée devant les caméras. Malgré une apparition éclair (il était parti dès l'épreuve du speed-dating), il affirme aujourd'hui à Voici avoir très mal vécu l'exposition imposée par les producteurs.
Étiqueté comme "le premier candidat homosexuel du programme", Guillaume Barbier assure avoir souffert de cette image réductrice durant la diffusion : "J'ai eu l'impression d'avoir été un phénomène de foire. (...) J'avais vraiment l'impression qu'elle disait ça volontairement pour que le côté 'produit' éclate. C'est ce qu'il s'est passé par la suite".
D'après l'agriculteur, sa vie privée n'avait ainsi plus rien de privée et il lui était difficile de retrouver un rythme normal ensuite : "C'était trop d'un seul coup. Il y avait des journalistes qui débarquaient dans la cour à n'importe quel moment, même au portail de ma maman à 10h du soir. Je me sentais un peu envahi".
Mais là où le candidat est véritablement énervé, c'est quand il repense au comportement de Karine Le Marchand. Animatrice phare de l'émission, Guillaume Barbier affirme qu'elle joue un rôle devant la caméra et qu'elle est loin d'être aussi sensible et empathique qu'elle le prétend : "Quand on est assis, que je me confie sur mon adolescence difficile et sur le fait que j'ai pensé au suicide à cette époque, elle a cette petite larme à l'oeil et quand la productrice lui dit : 'C'est bon, c'est dans la boîte'. Elle se lève et rigole. Et moi, j'étais toujours assis, en train de pleurer. (...) Karine a dit qu'elle avait pris de mes nouvelles, c'est faux et archi-faux. Elle n'a jamais pris de mes nouvelles".
Des révélations étonnantes quand on sait qu'il s'était déjà excusé auprès d'elle pour des critiques lancées dans la presse il y a plusieurs mois, qui ne devraient pas tarder à faire réagir la principale concernée...