"Je ne peux pas..." : Karine Le Marchand dévoile ce red flag chez un homme qui la repousse systématiquement

L'amour, elle connait. Cela fait maintenant près de quinze ans que Karine Le Marchand joue les entremetteuses pour les candidats de L'amour est dans le pré. Elle s'est d'ailleurs réjouie du nombre de couples créés lors de cette saison de L'amour est dans le pré 2024. Là pour écouter et conseiller les agriculteurs - et aussi un peu pour se moquer d'eux, en toute amitié -, l'animatrice qui a aussi présenté Les Maternelles (2004-2009) est devenue experte en relation. Un sujet qui la passionne. C'est donc naturellement qu'elle a accepté de présenter Les Français, l'amour et le sexe : comment tout a changé, documentaire diffusé sur M6, lundi 9 décembre.

"On rêve toujours du grand amour, mais on ne s'engage plus de la même façon, on ne rencontre plus de la même façon, et on ne se projette plus dans un couple ou pas de couple de la même façon. Tout a changé", a expliqué Karine Le Marchand au micro de Sud Radio avant la diffusion. Et de revenir sur les conseils donnés par les experts qu'elle a rencontrés pour elle programme : "Il ne faut pas cocher plein de cases, se dire 'je veux qu'il soit blond, 1m85, il chausse du machin, il gagne tant, etc' ; ce qu'on a tendance à faire parce que, malheureusement, on croit que tout repose sur le casting, ce qui est faux, et ça... On ne dit pas merci aux contes de fées. Plutôt que de se donner plein de cases, il vaut mieux avoir deux-trois red flags, c'est-à-dire, deux-trois choses, qui, quand on se rend compte que la personne est comme ça, on part en courant, on n'essaie même pas de la revoir".

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Karine Le Marchand, qui a été en couple avec Joey Starr, a déterminé les red flags qu'elle ne veut pas chez un homme. Et ils sont très simples : "La bêtise, la radinerie, parce que ça va avec l'étroitesse d'esprit, ce n'est pas une histoire d'argent, c'est qu'en général, les gens qui sont radins, ils ont un petit esprit avec des idées très reçues, etc, ils n'en sortent pas", a-t-elle confié. "Et mon troisième, c'est la saleté. L'hygiène, je ne peux pas ! Ah non, mais il peut faire ce qu'il veut...". Les prétendants sont prévenus.