Qu'est-il arrivé à Marie Garet ? Son compte Instagram aurait été piraté pour annoncer sa mort, mais Aqababe a ensuite balancé qu'elle serait en fait hospitalisée pour violences conjugales : "Il l'a massacrée, laissée pour morte, inconsciente", a confié le blogueur. Des rumeurs auxquelles la principale intéressée a réagi quelques heures plus tard : "Tout ce qui est décrit ci avant et ci après est totalement faux. Je suis hospitalisée oui mais pour des raisons qui ne regardent personne." Marie Garet a ensuite menacé Aqababe de porter plainte contre lui.
Aujourd'hui, c'est au tour de son petit ami de sortir du silence et de réagir à toutes ces accusations dont il se déclare victime : "Je n'ai pas compris ce qui se passait. Dimanche, on est sorti à la Dune, à La Grande-Motte. On s'est disputé, comme ça peut arriver dans tous les couples. Elle ne voulait pas rentrer à la maison. Je l'ai tirée par le bras, puis j'ai décidé de rentrer seul. Je suis passé à la marina prendre quelques affaires, puis j'ai rejoint le domicile d'un ami", explique Dorian Baptiste à Midi Libre.
Le père de famille poursuit : "Je me suis couché... et le lendemain matin, c'était un cataclysme. J'ai reçu des milliers de messages insultants, menaçants. Tout y est passé. J'ai le dos large, mais pour mes enfants, qui suivent aussi les réseaux sociaux, c'est terrible. Ils se retrouvent dans une histoire qui les dépasse. Où les rumeurs les plus sordides circulent, sans que rien ne soit vérifié. Face à cet emballement médiatique, on ne peut rien faire."
Dorian Baptiste dément ensuite les rumeurs de violences conjugales et affirme que Marie Garet n'a pas été placée en soins intensifs dans un hôpital à Montpellier : "Et certainement pas pour avoir reçu des coups. Je me suis rendu à l'hôpital, mais pour cause de mesures sanitaires, je n'ai pas pu la voir. J'ai pris de ses nouvelles et je suis rentré à Alès."
Le patron d'un salon de coiffure à Alès révèle avoir l'intention de porter plainte pour diffamation, comme le confirme son avocat, Me Aurélien Vergani : "Il faut que certains comprennent que l'on ne peut pas attenter à l'honneur et à la réputation d'une personne au seul prétexte que les réseaux sociaux et la presse people se nourrissent de façon scandaleuse des ragots les plus fétides. L'amoralité, la lâcheté de certains blogueurs qui, sous couvert d'anonymat, lancent des fakenews calomnieuses pour le seul avantage d'alimenter leur petite chapelle, est une honte ! Ce monde du caniveau, cette religion du buzz pour le buzz, doit être combattu dès lors qu'il fait de graves dégâts individuels. Mon rôle sera de restaurer l'honneur et l'image de mon client tout en espérant que les responsables de ce déchaînement médiatique soient naturellement et justement sanctionnés."