A l'image de Maeva Ghennam qui se veut plus "femme" et moins vulgaire, Nabilla souhaite un retour au naturel. Métamorphosée par la chirurgie esthétique au fil des années, l'ancienne candidate a récemment fait passer un message à sa communauté lors d'un entretien accordé à Télé Loisirs. "C'est bien pour celles et ceux qui ont du mal à vivre avec un défaut", dit-elle en référence au bistouri. La jolie brune a tout de même insisté sur le fait qu'il "faut rester un maximum naturel".
Adieu les nez trop fins, les bouches et les fesses trop grosses. Nabilla encourage désormais ses fans à accepter au mieux leurs petites potentielles imperfections et elle s'apprête d'ailleurs à repasser sur le billard... pour une bonne raison ! La femme de Thomas Vergara a en effet profité du long week-end de Pâques pour révéler qu'elle allait subir une réduction mammaire.
L'ancienne candidate a confié avoir eu "un petit souci" à l'une de ses prothèses. "Elle ne s'est pas retournée mais elle s'est un peu abîmée quand j'étais enceinte. (...) Je pense que quand j'étais enceinte, je dormais toujours du même côté et du coup il y a un sein qui est un peu plus plat. On a fait des radios et il y a une prothèse qu'on doit changer. J'espère que ça va bien se passer", a-t-elle déclaré. Nabilla, qui aimait autrefois ses formes généreuses, fait machine arrière : "J'en profite pour faire une taille en dessous. J'ai insisté pour faire beaucoup plus petit, mais ce n'est pas possible", avoue-t-elle. "S'il réduit trop, ça va être moche donc on ne peut pas le faire".
La jeune femme en a profité pour mettre en garde les personnes qui seraient tentées par le bistouri : "Si vous faites de la chirurgie, ne faites pas de trucs démesurés. Déjà, c'est moche. Les meufs qui sont trop refaites, c'est moche, ce n'est pas joli", affirme-t-elle. "Et surtout, réfléchissez avant, faites les choses petit à petit ou même, ne les faites pas. Si vous vous ennuyez, sortez, allez faire du sport. Le mieux est l'ennemi du bien. Ça ne vaut pas le coup, il faut donc que ça arrête de devenir une mode. Je vous parle aussi en connaissance de cause. J'ai vu des filles dans la salle d'attente qui n'étaient pas humaines... C'est comme les tatouages, on en fait un et on ne s'arrête plus". Le message est passé !