Que ça soit avec ses punchlines ou ses prises de positions politiques, Sandrine Rousseau ne laisse personne indifférent. La députée d'Europe Ecologie-Les Verts se retrouve au coeur d'une nouvelle polémique en cette fin juillet 2023.
Alors que de nombreux pays du sud de l'Europe sont touchés par des incendies sans précédent, celle qui a été comparée par Eric Naulleau à un taliban a estimé que la consommation de viande était l'une des causes des feux et des fortes chaleurs. "La consommation de viande est une des causes de ce qui se passe en Algérie, Espagne, Grèce, Chine, Arizona et partout. Se prendre en photo, tout sourire, avec un morceau de viande, aujourd'hui, c'est cracher à la figure de celles et ceux qui fuient, brûlent, meurent de chaleur", a-t-elle lâché sur Twitter.
Tandis que son tweet suscitait de vives réactions, la députée écologiste a enfoncé le clou. Dans un second message posté sur le réseau social qui vient d'être renommé X par Elon Musk, elle a asséné : "Je pose ici que pour espérer ralentir la catastrophe climatique, il faut réduire de 70 à 80% la quantité de viande que l'on mange. Pas la peine forcément d' aller à 100%. Si toutefois votre motivation est la cause animale, alors il faut arrêter complètement !".
Cette nouvelle sortie décriée de Sandrine Rousseau a fait sortir de ses gonds un chroniqueur des Grandes Gueules ce mercredi 26 juillet sur RMC et RMC Story. "Elle est toujours dans les punchlines. Ça ne produit rien et c'est terrible d'entendre des conneries comme ça. Mais ça fait peur à ce niveau-là ! Elle est quoi climatologue ? Non, elle est députée...", s'est emporté Bruno Pomart sur le plateau de l'émission où Olivier Truchot a déjà poussé un coup de gueule contre la députée écologiste.
"Elle se prend pour une climatologue, elle se prend pour tout... Il y en a ras la casquette de ces députés de LFI (Sandrine Rousseau est chez EELV, ndlr). Moi je suis un élu. Quand je vois ces gens-là qui passent leurs journées à balancer des tweets... Toute la journée, ils balancent des tweets à la con. Ils sont députés, ils prennent 6 000 à 9 000 euros par mois pour faire des tweets comme ça. Ils produisent quoi pour la société ? Rien ! Sandrine Rousseau n'est pas une climatologue, moi je veux entendre des spécialistes !", s'est excédé le chroniqueur des "GG".