Norbert et Florent duo de choc© M6
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Top chef 2012 était de retour hier pour la diffusion du 3ème épisode de sa saga culinaire. Après l'abandon (surprise) de Mehdi la semaine dernière, le jury n'a pas pour autant épargné les candidats-cuisiniers avec un marathon, un dessert au céleri, de la cuisine moléculaire ou encore une exigeante omelette !
Comme pour l'épisode 2, vous étiez plus de 3 millions à saliver devant vos écrans. Après un affrontement avec d'anciens candidats, les chefs ont dù faire face à des défits inédits, comme saler une viande ... sans sel, ou un gâteau sans cuisson !
En mode love
Saint-valentin oblige, l'épreuve du coup de feu était placée sous le signe de l'amour. Objectif du jury ? Que nos cuisiniers mettent de l'émotion dans leurs assiettes. La carotte ? Eviter le marathon, et surtout passer une nuit dans un palace avec les proches, invités dans la Grande Cuisine pour déguster les plats de leurs cuistots adorés. Le juge final sera Cyril Lignac, qui doit être convaincu par les goûteurs, mais surtout par le goût.
Séparés de leurs parents ou conjoints, les candidats sont au bord des larmes. Snifff. Mais on s'essuie et on passe aux choses sérieuses. Cyrille, Jean et Tabata sont ceux qui s'en sortent le mieux. Pour Jean, c'est un "bouquet de fleurs" pour sa mère, Tabata met en avant les origines corses de son mari, et Cyrille envoie du lourd, avec le plat de sa demande en mariage. Sa femme adore, et chef Lignac aussi. La daurade aux truffes propulse le chef étoilé et sa chérie dans une soirée de rêve. Pendant ce temps, les autres vont suer. Place au marathon.
On jette rien les enfants !
C'est parti pour un marathon de 10h ! Première épreuve, cuisiner un plat à base de légumes, et sans rien jeter ! Tout doit être utilisé : fanes, épluchures, etc. Violent ! Visiblement, pas de grosses difficultés pour les candidats. Les astuces ? Frire les épluchures et mixer les tiges et fanes pour en faire des condiments. Imaginé par Ghislaine Arabian, ce défi "parle" à Julien ou Denny, et un peu moins à Jean. Pourtant, le cuisinier parisien, qui s'est seulement contenté de décliner (avec talent) la carotte, l'emporte. Sa mousse a été épatante.
Pas d'omelette sans casser des oeufs
Le défi suivant est dicté par Christian Constant. Inspirée d'une épreuve du meilleur ouvrier de France, l'épreuve impose aux candidats de faire une omelette. Mais attention, pas n'importe qu'elle omelette. Elle doit être blanche à l'extérieur, jaune à l'intérieur, et avec un jaune d'oeuf filé. Gros blanc (d'oeuf) chez les cuisiniers. Chef Constant peut se marrer, car c'est dans les choses simples que se trouvent parfois la difficulté. D'ailleurs, le juré est obligé d'aider les chefs pour leur expliquer la technique de l'oeuf filé. Norbert, conscient de ses limites, envoie une bonne omelette de bistrot de quartier. Juan et Florent sont les plus proches du résultat attendu. Juan l'emporte, pour le goût, mais aussi pour le visuel.
Un grain de sel
L'épreuve suivante est de saler une viande, mais sans sel ! Etrangement, le défi ne fait peur à personne, et chacun a son astuce. Celle de Jean-François Piège est classique : la sauce soja. Mais il attend plus des candidats. Plus d'inventivité. Tabata part sur un jus réduit qui donne du goût, mais un goût de brulé. Bien tenté ! Certains candidats foncent sur le soja, mais Noémie choisit une sauce anglaise. De plus, elle innove en glissant un peu de noisette pour le croquant, au coeur de sa viande. Chef Piège approuve.
Un gâteau "Marxien"
L'épreuve suivante est signée Thierry Marx, adepte de la cuisine moléculaire. But : faire une forêt noire, avec un biscuit sans cuisson. Carl, qui bosse dans un resto moléculaire a compris l'utilité de la pompe à vide mise à disposition. Les autres, paniqués, partent en freestyle. Le petit Ruben a trouvé tous les marqueurs, mais son plat est trop désordonné. Carl s'en sort, mais de justesse.
Un produit pour un duo
Ultime épreuve, cuisiner à 2, une entrée et un plat avec, comme base, un légume unique. Au hasard, on peut tomber sur de la betterave (Denny et Tabata), de l'oignon (Norbert et Florent), ou encore le céleri (Ruben et Julien). Malgré une ambiance un peu tendue, c'est ce dernier binôme qui l'emporte, grâce surtout à l'entrée du petit prodige. Julien, trop sur de lui, passe aussi. Mais bon...
Un dessert au céleri
Pour ne pas sortir, les 4 derniers candidats en lice doivent faire un dessert au céleri. Beurk ! Denny à l'aise, balance un plat de vainqueur. Norbert, un peu freestyle fait un cru/cuit qui passe ! Cool, car c'est un candidat vraiment marrant et sympa. Au final, Florent et sa panac(r)otta reste à quai. Quand les chefs font la grimace en dégustant, c'est jamais bon signe. A la semaine prochaine avec une épreuve face à des enfants. Ces derniers seront sans pitié !
Comme pour l'épisode 2, vous étiez plus de 3 millions à saliver devant vos écrans. Après un affrontement avec d'anciens candidats, les chefs ont dù faire face à des défits inédits, comme saler une viande ... sans sel, ou un gâteau sans cuisson !
En mode love
Saint-valentin oblige, l'épreuve du coup de feu était placée sous le signe de l'amour. Objectif du jury ? Que nos cuisiniers mettent de l'émotion dans leurs assiettes. La carotte ? Eviter le marathon, et surtout passer une nuit dans un palace avec les proches, invités dans la Grande Cuisine pour déguster les plats de leurs cuistots adorés. Le juge final sera Cyril Lignac, qui doit être convaincu par les goûteurs, mais surtout par le goût.
Séparés de leurs parents ou conjoints, les candidats sont au bord des larmes. Snifff. Mais on s'essuie et on passe aux choses sérieuses. Cyrille, Jean et Tabata sont ceux qui s'en sortent le mieux. Pour Jean, c'est un "bouquet de fleurs" pour sa mère, Tabata met en avant les origines corses de son mari, et Cyrille envoie du lourd, avec le plat de sa demande en mariage. Sa femme adore, et chef Lignac aussi. La daurade aux truffes propulse le chef étoilé et sa chérie dans une soirée de rêve. Pendant ce temps, les autres vont suer. Place au marathon.
On jette rien les enfants !
C'est parti pour un marathon de 10h ! Première épreuve, cuisiner un plat à base de légumes, et sans rien jeter ! Tout doit être utilisé : fanes, épluchures, etc. Violent ! Visiblement, pas de grosses difficultés pour les candidats. Les astuces ? Frire les épluchures et mixer les tiges et fanes pour en faire des condiments. Imaginé par Ghislaine Arabian, ce défi "parle" à Julien ou Denny, et un peu moins à Jean. Pourtant, le cuisinier parisien, qui s'est seulement contenté de décliner (avec talent) la carotte, l'emporte. Sa mousse a été épatante.
Pas d'omelette sans casser des oeufs
Le défi suivant est dicté par Christian Constant. Inspirée d'une épreuve du meilleur ouvrier de France, l'épreuve impose aux candidats de faire une omelette. Mais attention, pas n'importe qu'elle omelette. Elle doit être blanche à l'extérieur, jaune à l'intérieur, et avec un jaune d'oeuf filé. Gros blanc (d'oeuf) chez les cuisiniers. Chef Constant peut se marrer, car c'est dans les choses simples que se trouvent parfois la difficulté. D'ailleurs, le juré est obligé d'aider les chefs pour leur expliquer la technique de l'oeuf filé. Norbert, conscient de ses limites, envoie une bonne omelette de bistrot de quartier. Juan et Florent sont les plus proches du résultat attendu. Juan l'emporte, pour le goût, mais aussi pour le visuel.
Un grain de sel
L'épreuve suivante est de saler une viande, mais sans sel ! Etrangement, le défi ne fait peur à personne, et chacun a son astuce. Celle de Jean-François Piège est classique : la sauce soja. Mais il attend plus des candidats. Plus d'inventivité. Tabata part sur un jus réduit qui donne du goût, mais un goût de brulé. Bien tenté ! Certains candidats foncent sur le soja, mais Noémie choisit une sauce anglaise. De plus, elle innove en glissant un peu de noisette pour le croquant, au coeur de sa viande. Chef Piège approuve.
Un gâteau "Marxien"
L'épreuve suivante est signée Thierry Marx, adepte de la cuisine moléculaire. But : faire une forêt noire, avec un biscuit sans cuisson. Carl, qui bosse dans un resto moléculaire a compris l'utilité de la pompe à vide mise à disposition. Les autres, paniqués, partent en freestyle. Le petit Ruben a trouvé tous les marqueurs, mais son plat est trop désordonné. Carl s'en sort, mais de justesse.
Un produit pour un duo
Ultime épreuve, cuisiner à 2, une entrée et un plat avec, comme base, un légume unique. Au hasard, on peut tomber sur de la betterave (Denny et Tabata), de l'oignon (Norbert et Florent), ou encore le céleri (Ruben et Julien). Malgré une ambiance un peu tendue, c'est ce dernier binôme qui l'emporte, grâce surtout à l'entrée du petit prodige. Julien, trop sur de lui, passe aussi. Mais bon...
Un dessert au céleri
Pour ne pas sortir, les 4 derniers candidats en lice doivent faire un dessert au céleri. Beurk ! Denny à l'aise, balance un plat de vainqueur. Norbert, un peu freestyle fait un cru/cuit qui passe ! Cool, car c'est un candidat vraiment marrant et sympa. Au final, Florent et sa panac(r)otta reste à quai. Quand les chefs font la grimace en dégustant, c'est jamais bon signe. A la semaine prochaine avec une épreuve face à des enfants. Ces derniers seront sans pitié !