Actuellement au casting de la saison 11 de DALS (elle continue l'aventure de Danse avec les stars 2021 et sera dans le prime 3 sur TF1), Vaimalama Chaves a fait une terrible révélation. Dans sa story Instagram de ce samedi 25 septembre 2021, celle qui avait été élue Miss France 2019 a confié avoir été agressée à Paris par plusieurs jeunes. En larmes, à la fois triste et en colère, Vaimalama Chaves a expliqué : "Chères femmes. Aujourd'hui, je suis en colère. Je suis en colère parce que je me suis fait agresser" a-t-elle déclaré, "Je suis en colère. Je me sens si faible et démunie !".
La reine de beauté qui est en couple a raconté son agression par une quinzaine de mineurs, "une bande de moins de 18 ans". Ses agresseurs lui ont jeté des pierres et ont essayé de lui voler son téléphone portable : "Je n'ai pas eu que des cailloux, ils ont essayé de me voler mon portable. Ils se sont amusés à m'en jeter davantage lorsque je partais". Vaimalama Chaves a aussi détaillé que les jeunes ont commencé à l'encercler quand elle a essayé d'appeler la police : "Ils m'ont entourée lorsque j'essayais d'appeler le 17". Et la Miss France devenue influenceuse a même posté une vidéo à l'appui, où on voit ses agresseurs avec leurs visages cachés par leurs mains et/ou des vêtements, en train de se rapprocher tout autour d'elle.
"Les choses n'en resteront pas là. Si moi j'ai vécu ça et que j'ai pu vous le montrer, des milliers d'autres subissent pareil et pire, et ne disent rien. Le silence n'a pas lieu d'être" a souligné Vaimalama Chaves, qui a déposé plainte après l'agression. Et elle a invité tout le monde à porter plainte après une agression.
"S'il vous arrive une agression, quelle qu'elle soit, dites-le. A tout le monde, faites savoir ce qu'il se passe parce que ce n'est pas votre faute" a-t-elle rappelé pour toutes les autres victimes qui ont été agressées, "Pourquoi devrions-nous nous taire ? Pourquoi devrions-nous subir ? Je suis déçue de ne pas savoir quoi faire".
Et Vaimalama Chaves a conclu : "La Polynésie m'a appris la douceur et la gentillesse mais ici, tous mes acquis n'ont pas leur place, à Paris. Le respect n'existe pas. La tolérance non plus".