Dans Les Princes et les Princesses de l'amour 4 (Les Princes de l'amour 8) sur W9, Zoubir était le prétendant de Sara, la belle italienne. Mais celle-ci a préféré garder Julien, avec qui elle est partie en couple du tournage, comme vous avez pu le voir dans l'épisode diffusé ce jeudi 21 janvier 2021. Zoubir avait été éliminé dans les épisodes de cette semaine et a beaucoup fait parler, pas seulement pour son élimination. Comme l'avait révélé Le Parisien, le policier pourrait perdre son job à cause de plusieurs "enquêtes administratives" pour "manquements au devoir exigé de sa fonction".
Celui qui est fonctionnaire de police au commissariat du 16ème arrondissement de Paris a alors dénoncé des scènes de racisme au sein de la police sur le plateau de TPMP sur C8. La préfecture de police a réagi sur les réseaux, en rappelant qu'il avait participé à une émission de télé-réalité "alors qu'il était en congé maladie et sans avertir son employeur". Zoubir Bouzidi de son nom complet a alors confié à TV Mag devoir donner 12 000 euros s'il veut démissionner de ses fonctions.
"Quand j'ai fini l'école de police, j'ai passé le concours Ile-de-France qui m'engageait pour 8 ans. Même quand la volonté de faire ce métier est très forte, comme cela était mon cas dans un premier temps, les péripéties que j'ai rencontrées ont fini par avoir raison de ma motivation. J'ai envie de changer de voie, comme cela peut arriver à tout le monde dans n'importe quelle profession, mais aujourd'hui, il faudrait que je verse 12 000 euros pour démissionner" a ainsi expliqué l'ex prétendant des Princes de l'amour 8, "Cet argent correspond à ce que ma formation en école de police a pu coûter à mon employeur".
Zoubir ne devrait donc pas être viré malgré sa participation aux Princes et Princesses de l'amour 4, et il ne peut pas quitter la police à moins de payer. "Je suis pris au piège de ce système" a-t-il avoué, "Si je veux partir sans rien payer, je dois aller au bout des 8 années de mon engagement". Et le candidat de télé-réalité et policier a ajouté : "Beaucoup de gens veulent partir mais sont contraints de rester parce qu'ils n'ont pas les moyens de se libérer de leur contrat. Cela provoque des dépressions et certains vont jusqu'à commettre l'irréparable. Ce n'est pas un hasard si certains secteurs de la fonction publique enregistrent un fort taux de suicide...".
Aujourd'hui, "administrativement, je suis toujours en arrêt maladie" a-t-il précisé. Va-t-il se lancer dans une carrière à la télé ou sur les réseaux sociaux s'il le peut ? "J'ai toujours été attiré par le milieu de la mode, j'ai déjà un pied dedans, et celui des réseaux sociaux" a-t-il expliqué, "aujourd'hui, je suis en pleine réflexion".