Dans Les Princes et les princesses de l'amour 4 sur W9, les téléspectateurs ont pu découvrir Zoubir, prétendant de Sara. Le candidat est reparti en solo puisqu'il a été éliminé par la jeune femme qui est repartie avec Julien avec qui elle n'est plus en couple aujourd'hui. S'il n'a pas trouvé l'amour suite à sa participation à l'émission, Zoubir a récolté quelques ennuis avec sa hiérarchie : il est fonctionnaire de police au commissariat du XVIe arrondissement de Paris. Et son passage dans Les Princes et les princesses de l'amour 4 n'est pas vue d'un très bon oeil.
Cette semaine, Le Parisien dévoilait que Zoubir était visé par plusieurs enquêtes administratives pour "manquements au devoir exigé par sa fonction". Ses supérieurs lui reprochent d'avoir participé à l'émission sans en informer sa hiérarchie et d'avoir utilisé un congé maladie pour le tournage. De plus, Zoubir a dénoncé des scènes de racisme dans la police dans TPMP, chose qui n'a pas plu puisque la Préfecture de police n'a pas tardé à réagir sur les réseaux sociaux. Alors que l'enquête contre Zoubir se poursuit, ce dernier s'est confié de nouveau, après avoir indiqué que, s'il veut démissionner, il devra rembourser une forte somme.
Cette fois, c'est auprès de BFMTV Paris que Zoubir a expliqué avoir été interrogé par l'IGPN (Inspection générale de la Police nationale), le service aussi surnommé "la police des polices" qui est chargé des enquêtes visées contre des membres des forces de l'ordre. "J'ai passé cinq heures à l'IGPN. Il y a eu des enquêteurs qui ne comprenaient pas forcément que j'emploie le mot 'wesh', qui ne conçoivent pas qu'un policier puissent écouter Jul ou danser sur des choses." a déclaré le candidat de télé-réalité qui ajoute : "En France, il y a des problèmes bien plus importants en ce moment qu'un jeune qui fait des vidéos".
Dans son interview, l'ex-prétendant de Sara avoue qu'utiliser un congé maladie pour participer au tournage était "maladroit" (il était arrêté pour dépression) et se confie aussi sur son mal-être avant l'émission. "J'étais dans une situation assez délicate où ça n'allait plus du tout au travail, où je ne me reconnaissais plus dans le boulot". Au micro de BFM, le policier revient aussi sur l'attitude raciste de certains collègues. "Quand on sort sur un contrôle et qu'on dit : 'Tiens, on va contrôler tes semblables'.... Des collègues étaient sur Facebook et mettaient régulièrement des publications à portée islamophobe, à portée raciste.. Je sais que ça a été vu comme une justification mais c'est des choses que j'ai vraiment vues." déclare-t-il.