Après avoir vécu l'enfer, Poupette Kenza sort enfin la tête de l'eau. Il y a plusieurs semaines, la jeune maman a été placée en garde à vue suite à des accusations de maltraitance sur son fils Khalis, âgé de 9 mois. L'influenceuse a ensuite pris la parole dans TPMP pour tout nier en bloc. Malgré ça, l'enquête s'est poursuivie et elle a vu son fils être placé.
Dans une vidéo Youtube, Poupette est revenu sur cet épisode. "Mon fils n'est pas tombé, je ne l'ai pas fait tomber" a-t-elle martelé. "S'il était tombé, je l'aurais dit. Je ne vais pas inventer une chute qui n'a pas existé", s'est-elle encore défendue.
En pleurs, elle est également revenue sur le moment où l'assistance sociale lui a pris Khalis : "c'est un traumatisme pour moi. Déjà, vous êtes en train de suspecter un truc que, potentiellement, j'aurais fait à mon enfant alors que c'est totalement déconnecté de la réalité. Bref, et là je lève la tête, je vois 5 ou 6 policiers. Donc l'assistante sociale qui vient récupérer Khalis avec les forces de l'ordre. Elle me sort un papier qui s'appelle une OPP, une opération de placement provisoire. 'Voilà Madame, on va placer votre fils'. J'ai dit 'quoi quoi, madame non'. Je n'oublierai jamais cette scène"
Poupette a aussi profité de cette vidéo pour faire taire les rumeurs qui affirmaient que son chéri Allan l'avait quittée : "Concernant les rumeurs de séparation, c'est totalement faux. On n'était absolument pas séparés avec Allan. On n'a même pas tenté de se séparer. On était comme ça (elle croise les doigts). On pleurait bras dans les bras, on pleurait main dans la main".
"Quand je lis le dossier avant de passer en jugement, je me rends compte de ce qu'il y a dedans et c'est très traumatisant. Je me rends compte qu'il y a des femmes qui ont été faire des attestations, des mails. J'ai tous vos noms, tous vos prénoms. Des plaintes ont été déposées" s'est également souvenue l'influenceuse. Elle a ensuite balancé quelques noms, avant d'ajouter : "Je me suis rendue compte que c'était principalement des femmes de ma communauté. Des maghrébines. Quelle haine ! 'Madame est folle', 'c'est un danger publique pour ses enfants'... J'ai tout lu ! Des vraies phrases de haters !".
"Celles qui ont cru, celles qui m'ont insultée, celles qui m'ont accusée d'avoir fait tomber mon enfant et qui m'ont accusée de maltraitance, j'aimerais juste que vous vous excusiez. On ne peut pas dire des trucs comme ça", a-t-elle conclu, avant de se montrer toute sourire avec son fils dans les bras.
À la fin de la vidéo, Poupette Kenza explique que le petit Khalis va beaucoup mieux et que son hématome s'est totalement résorbé. C'est bien ça le plus important.