Présente au casting de la saison 18 de L'amour est dans le pré, actuellement diffusée sur M6, Perrine est loin d'être satisfaite de son aventure. Alors que l'on a pu voir l'éleveuse d'escargots éconduire progressivement Florian et Firmin, ses deux prétendants, auxquels elle n'a pas réussi à s'attacher, la jeune candidate de 26 ans regrette surtout la façon de faire de la production.
Auprès du site Bien Public, Perrine - qui est régulièrement la cible de critiques de la part des internautes, accusée d'être parfois froide et peu ouverte, a dans un premier temps assuré qu'elle assumait pleinement sa manière d'être à l'écran : "Si je devais refaire mon portrait, mon speed dating ou même mon séjour à la ferme, je referais exactement la même chose".
Contrairement à certaines personnes, elle ne se serait jamais donnée un rôle devant les caméras et serait donc toujours apparue de façon naturelle : "Je suis droite dans mes bottes et je peux dormir tranquille. Je n'ai pas à rougir de ce que j'ai pu dire ou faire dans l'émission".
En revanche, s'il y a bien une chose qui la désole aujourd'hui, c'est de ne pas avoir été plus strict avec la production de l'émission : "J'avoue que je m'attendais à autre chose et si je devais le refaire aujourd'hui, je serais plus ferme sur les clauses de mon contrat".
En cause ? Malgré un tournage au cours duquel elle aurait toujours été fidèle à elle-même, le montage n'aurait à l'inverse pas souvent reflété cette réalité. "Certaines scènes ont été coupées au montage, a-t-elle déploré. Je trouve cela vraiment dommage, car on ne voit qu'une facette de ma personnalité". Elle en veut pour preuve un moment de partage très intéressant avec ses prétendants où le trio avait pu participer à un atelier culinaire avec le chef Olivier Streiff.
"Rien n'a été montré aux téléspectateurs", a-t-elle ainsi soufflé. Je suis un peu déçue par certains aspects de l'émission, notamment par le montage". Et de balancer enfin, un goût amer en bouche : "La production fait passer les agriculteurs pour les méchants et les prétendants pour les gentils".
Des critiques que l'on retrouve tous les ans, mais qui ne motivent visiblement pas la production à se remettre en question.