Cyril Hanouna n'en a pas fini de nous surprendre. A l'aube de sa douzième saison en quotidienne, l'animateur, qui a fait condamner C8 à une nouvelle amende, n'entend pas se reposer sur ses lauriers.
Parallèlement à une refonte du 6 à 7 - qui deviendra PAF et sera désormais présenté par Guillaume Genton -, l'animateur star du canal 8 de la TNT apportera des nouveautés à TPMP. Pour pallier aux départs de Matthieu Delormeau, Benjamin Castaldi, Béatrice Rosen et Delphine Wespiser, il renforcera sa bande de chroniqueurs.
Celui qui a tranché sur l'avenir d'Isabelle Morini-Bosc accueillera deux personnalités du petit écran. Alex Goude, ex-animateur de M6 et France Télévisions, et Evelyne Thomas, présentatrice emblématique de C'est mon choix, rejoindront l'équipe de Touche pas à mon poste. Et ils ne seront pas les seuls puisque Zahia Dehar est annoncée pour siéger autour de la table de l'émission où une séquence avec Afida Turner n'a fait rire personne.
Cyril Hanouna musclera également son jeu avec Ségolène Royal. L'ancienne candidate à la présidentielle rejoindra l'équipe de TPMP à la rentrée, annonce Le Parisien. Elle y interviendra une fois par semaine pour décrypter un sujet de l'actualité politique. "On va tester, on verra...", a-t-elle glissé à nos confrères. Elle a, en outre, apporté davantage de précisions sur sa mission auprès de l'Agence France Presse.
Sur le plateau du talk phare de C8, l'ancienne chroniqueuse de BFMTV aura pour mission de "décrypter les sujets complexes", de "donner un éclairage sur des concepts qui importent dans la vie politique et économique" et de "mettre au jour les raisonnements qui conduisent à telle ou telle décision, et en quoi est-elle juste" ou pas. "Je vais expertiser les aspects techniques et donner les positions", a-t-elle précisé.
Ségolène Royal a bien conscience que son arrivée dans l'équipe de Cyril Hanouna risque de susciter de vives réactions auprès des fanzouzes (nom donné aux fidèles de TPMP, ndlr) ou des personnalités du monde politique. Une éventuelle polémique qu'elle a d'ores et déjà balayée d'un revers de main. "Tant pis pour ceux qui critiquent, je ne méprise aucun public. La parole politique n'a pas à sélectionner tel ou tel public. Les gens ont le droit de comprendre !", s'est-elle justifiée.