C'est ce mercredi 21 septembre 2022 qu'était célébrée la journée de la paix. A cette occasion, Cyril Hanouna - conscient des tensions autour de la table de TPMP, a tenté de faire en sorte que ses chroniqueurs se réconcilient pour éviter de nouveaux clashs et situations gênantes sur le plateau de son émission.
Malheureusement, cette initiative n'a pas connu que des happy ending. Si Beatrice_Rosen et Géraldine Maillet ont de leur côté enterré la hache de guerre et se sont même embrassées, Delphine Wespiser n'a pas souhaité tourner la page de ce qu'elle estime être une trahison.
Souvenez-vous, en pleine élection présidentielle, l'ex-Miss France avait été lâchée par ses camarades à la suite de son soutien envers Marine Le Pen. Alors que ses propos avaient fait polémique, les membres de TPMP avaient préféré prendre leur distance face au bad buzz plutôt que de la défendre. Une mise à l'écart qu'elle avait très mal vécu à l'époque, en témoignent ses nombreux coups de gueule dans la presse.
Et visiblement, Delphine Wespiser a la rancune tenace. Ce mercredi, Gilles Verdez a pourtant tenté de s'excuser en admettant qu'il aurait pu être plus présent. "J'ai essayé de vous soutenir et vous m'avez dit un jour 'Quand tu parlais, ton langage corporel te trahissait, tu n'avais pas l'air de croire en ce que tu disais', a-t-il dans un premier temps rappelé, avant de préciser, "Eh bien je m'en excuse, j'ai pas été assez clair, Delphine, vous avez eu le mérite de prendre des positions claires, fortes, j'aurais dû plus être à vos côtés, maintenant je serai avec vous".
Malheureusement pour son ego, déjà bien chamboulé après la claque de la veille, la chroniqueuse a confié qu'elle n'était pas prête à pardonner à l'équipe. Après avoir dévoilé qu'elle était encore traumatisée par cette situation, "Cette période, j'ai essayé de l'oublier, j'ai plus ou moins réussi. Gilles tu soulèves et tu ravives des souvenirs en moi", Delphine Wespiser n'a pas caché que sa déception était toujours vive, "tout le monde m'avait lâchée", ce qui l'empêche aujourd'hui d'avancer. "Je crois savoir que j'ai donné une interview qui disait 'Quand on a des collègues comme ça, on n'a pas besoin d'ennemis'. Alors tout simplement pour cette période et à tous...", a-t-elle balancé en agitant un drapeau noir, synonyme de refus d'apaiser les tensions.
Bon, il faut dire aussi que Gilles Verdez, en bon petit fayot qu'il est, n'avait pas hésité à préciser juste avant que tous les chroniqueurs autour de la table n'avaient pas réellement envie de faire la paix avec elle : "D'autres ici, que je ne nommerai pas parce que je ne balance jamais personne, c'est un principe, continuent maintenant, chaque fois que vous prenez la parole, à se moquer de vous en coulisses ou sur le plateau". Comme qui ? Matthieu Delormeau, son meilleur ennemi.
Malgré tout, même si Delphine Wespiser assure être rancunière envers ses collègues, ça ne l'empêche visiblement pas de tout de même continuer à venir sur TPMP pour toucher son petit chèque... Comme quoi, l'ambiance ne doit pas être si horrible.