Une nouvelle journée de protestation contre la réserve d'eau s'est déroulée ce week-end à Saint-Soline dans les Deux-Sèvres. La manifestation, comportant des milliers de personnes, a dérivé en violences. De nombreux militants radicaux s'en sont pris violemment aux forces de l'ordre.
Ces violents affrontements se sont invités au menu des Grandes Gueules le lundi 27 mars 2023 sur RMC Story. L'émission a été ponctuée d'une intervention de Nicolas. "Ça me rappelle José Bové dans les champs pour les OGM. C'était exactement la même chose qu'aujourd'hui. Et quand on regarde avec le recul maintenant, bah José Bové, il est au Parlement Européen et les OGM ont été interdits. Je pense que ces bassines, elles subiront un peu le même sort", a expliqué l'auditeur de RMC.
L'auditeur a ensuite dénoncé une fake news d'Olivier Truchot et d'une chroniqueuse des Grandes Gueules. "Monsieur Truchot et Madame Bitan, arrêtez ! Je crois que c'était Jean-Luc Mélenchon qui avait un cocktail molotov dans la main. Qui a organisé toute la manifestation et il me semble même que je l'ai vu sur un quad et qu'il demandait à tout le monde d'avancer et de taper sur tout le monde... Faut arrêter !", s'est-il agacé.
Olivier Truchot n'a pas tardé à lui répondre. "Qui a dit que c'était Jean-Luc Mélenchon ? Moi, je n'ai pas parlé de lui. J'ai parlé de Clémence Guetté, députée Insoumise qui était sur place ! Et de Marine Tondelier, députée écologiste qui était sur place !", a-t-il répliqué. "La première chose que vous avez sorti, c'est LFI Mélenchon et je ne sais pas moi, je n'ai pas vu Jean-Luc Mélenchon...", a asséné l'auditeur de RMC.
>> Une chroniqueuse des Grandes Gueules écartée à la dernière minute <<
Quelques minutes plus tard, le ton est de nouveau monté. Nicolas a reproché à l'équipe des Grandes Gueules de systématiquement taper sur la gauche. "J'en ai marre que vous tapiez tous les jours sur les mêmes. Franchement, je vous adore les GG. Ça fait plus de dix ans que je vous écoute et aujourd'hui, je vous écoute de moins en moins. L'anti-gauchisme primaire, mais c'est hallucinant...", a-t-il lâché.
"Il y a un truc, c'est la gauche. Il ne fait pas beau aujourd'hui, c'est la gauche...", a-t-il ajouté. Olivier Truchot s'en est agacé. "Ce n'est pas vrai, je viens de vous dire le contraire ! Qui défend ces bassines, c'est la région qui est gouvernée par les socialistes ! Alors ce n'est peut-être pas votre gauche, mais la gauche ne se résume pas à Mélenchon, heureusement !", s'est-il emporté.