Si Adil Rami n'a joué aucun match durant la Coupe du monde 2018, il aura au moins marqué les esprits grâce à ses blagues en conférence de presse, sa tentative de drague auprès d'Anne-Claire Coudray en direct, sa relation avec Pamela Anderson et l'histoire de l'extincteur. Le joueur des Bleus est un peu à sketch à lui tout seul sauf que son humour n'a pas toujours l'effet escompté : c'est ce qui est arrivé cette semaine.
Alors qu'Adil Rami profite de ses vacances avec Samuel Umtiti, Paul Pogba et sa chérie Pamela Anderson, il reste quand même connecté sur les réseaux sociaux.... pour notamment suivre l'actu de son club l'Olympique de Marseille. Il a d'ailleurs réagi à ce tweet posté le 25 juillet sur le réseau social à l'oiseau bleu : "Aujourd'hui, nous avons un nouveau match de pré-saison. Nous affronterons à Algarve le Real Betis. Ce sera une fierté de faire face à la première équipe de Séville."
Le footballeur, qui a annoncé son départ de l'équipe de France, a souhaité donner son avis, mais son message n'est pas vraiment passé auprès des internautes : "Tweet de gentillesse mais complètement faux... Merci. Sûrement une femme qui a écrit ça", a écrit en story Instagram celui qui a évolué au sein du FC Seville, une équipe concurrente, durant deux ans. Choqués par le dernière phrase, les Twittos ont rapidement accusé Adil Rami d'être sexiste et misogyne.
Face à la polémique créée par ce message, le défenseur de l'OM a tenté de se justifier... de manière assez maladroite : "je ne suis pas misogyne, #bienaucontraire, mais réaliste. Tu m'as déjà vu jouer numéro 10 ? Et alors... tu en penses quoi ? Et ça ne m'a pas empêché d'être CDM (champion du monde, ndlr). #femmeonvousaime", a-t-il écrit. Ses explications n'ont malheureusement pas forcément convaincu grand monde.