Quelques jours avant sa venue à Paris pour son concert au Zénith, Demi Lovato s'est retrouvée au coeur d'un gros bad buzz qui n'est pas vraiment passé auprès des internautes. Alors qu'elle répondait à Q&A avec ses abonnés sur Twitter, l'un d'entre eux lui a demandé de raconter son plus gros prank.
Sans se douter une seule seconde des réactions qui allaient suivre, la chanteuse américaine a balancé sa mauvaise blague faite à son garde du corps : "J'ai engagé une femme à Las Vegas et je l'ai envoyée dans la chambre de Max pour le surprendre. Elle est entrée dans sa chambre sans sa permission et lui a attrapé ses parties intimes. Il a complètement paniqué", a-t-elle écrit.
Choquée par cette révélation, les Twittos l'ont rapidement clashée l'accusant même d'être à l'origine d'une agression sexuelle : "selon Demi Lovato, une agression sexuelle vers un homme, c'est drôle", "s'amuser d'une agression sexuelle n'est pas drôle", "Demi Lovato a vraiment cru qu'elle allait s'en tirer après sa blague où elle engage quelqu'un pour agresser sexuellement son ami", a-t-on notamment pu lire avant que l'ex-star Disney Channel supprime son message.
Face à ces violents tweets, Demi Lovato a rapidement pris la parole... de manière assez maladroite : "Je vous jure. Je pourrais écrire quelque chose sur mon envie de jelly beans et ça offenserait quelqu'un. Pour tous ceux qui me jugent, écoutez les paroles de "Warrior" et vous aurez peut-être plus de compassion pour quelqu'un qui a simplement fait une erreur. Je sais ce que c'est d'être abusée sexuellement. Pas besoin de m'éduquer", a posté l'interprète de "Sorry Not Sorry" avant de s'excuser : "je suis vraiment désolée si cela a offensé quelqu'un."