Kev Adams, Camille Combal, Camille Cerf, Maëva Coucke, Teheiura (Koh Lanta), Sandrine Quétier, Elodie Fontan... toutes ces stars et plein d'autres encore ont accepté de se prêter au nouveau jeu complètement dingue, District Z, imaginé et produit par Arthur. Le but ? Voler la fortune du professeur Z, coincée dans la salle des coffres dans son bunker, sans se faire voler sa vie par les zombies. Une série d'épreuves intenses attend les personnalités, avec à la clé de l'argent pour des associations. Sans oublier que l'émission se déroute toute la nuit, jusqu'au lever du jour.
Les premières célébrités à passer étaient Michaël Youn, Denitsa Ikonomova, Vincent Desagnat, Arnaud Ducret et Cartman. La pression était double pour elles puisqu'elles ont aussi ouvert le bal pour présenter la première création française de cette envergure sur TF1. Malheureusement, elles se sont ramassées toutes les critiques. Eh oui, District Z n'a pas eu que des retours positifs.
De nombreux internautes lui ont trouvé de nombreuses ressemblances avec Fort Boyard : même nombre de membres dans les équipes, la présence des pass (équivalent aux clés), jeux similaires, même réalisateur, chef décorateur, chef peintre... Des critiques auxquelles Arthur a répondu via plusieurs messages : "Vivement que vous vous lanciez dans la prod, qu'on apprenne comment faire une bonne émission", "5,4 millions, ça fait beaucoup de curieux", Vous avez posté 32 messages pour dire que vous n'aimiez pas District Z. Vous n'avez pas de télécommande ?"
En parallèle, la société de production d'Arthur est partie menée son enquête suite aux incohérences entre les commentaires négatifs et les bonnes audiences sur TF1, "au point de commander illico une analyse poussée des interactions sur Twitter, pendant la diffusion de Disctrit Z", rapporte Le Parisien.
Résultat ? "Un dénigrement, une manipulation et un sabotage via des comptes Twitter créés de toutes pièces, destinés à mettre en scène un phénomène de foule, influencer la perception des utilisateurs et au final, écorner l'image de District Z." 400 "faux comptes" Twitter, certains "sans abonné ni abonnement" et d'autres "spécialement créés pour imposer un avis négatif", sont visés tandis que 4 000 tweets ont été recensés.
Après ces découvertes surprenantes, Arthur a décidé de saisir la justice : "Une série de plaintes est à l'étude pour diffusion de fausses informations ou usurpation d'identité" Le Parisien précise ensuite : "Si une saison 2 est en cours de signature sur TF1, plusieurs pays ont déjà manifesté leur intérêt pour District Z, dont l'Italie, l'Espagne, l'Angleterre, le Mexique et les Etats-Unis." Une affaire judiciaire ne serait donc pas la bienvenue.
De son côté, Olivier Minne a confié au journal : "Apparemment, nous avons inspiré District Z. C'est même un hommage à Fort Boyard." Mais l'animateur de Fort Boyard est rapidement revenu sur ses propos : "Que les choses soient claires. J'ai dit précisément au @le_Parisien que s'il devait y avoir des similitudes d'épreuves avec #fortboyard, alors je ne pouvais que me réjouir de présenter une émission qui inspire. Et qu'en ce cas, #districtz ne pouvait être qu'un bel hommage vu la qualité du programme. Ne voyez aucun cynisme ou polémique de ma part car ce n'est pas moi", a-t-il posté sur Twitter.
Olivier Minne a ensuite tweeté : "En fait, #districtz et #fortboyard ont en commun de divertir. Je fais partie de ceux qui soutiennent @Arthur_Officiel à prendre des risques et à inventer. Quelle que soit la chaîne, je me réjouis toujours quand la télé ose. C'est pourquoi je souhaite longue vie à #districtz."
Et a conclu par : "Un jour peut-être ferons-nous un crossover où Passe-partout slalomera entre les zombies pendant que @DenisBrogniart et moi serons sur des poteaux. Le reste n'est que bavardage." Arthur n'a pas manqué de répondre : "Merci pour ton élégance. C'est très rare de nos jours."