Et si Enora Malagré n'était pas tout à fait celle qu'on croit ? "Tchatcheuse sans frein et gaffeuse haut perchée, l'animatrice de D8 et Virgin Radio se révèle aussi empathique et altruiste", annonce d'entrée Libération. La blonde a droit à son portrait en dernière page du quotidien. L'occasion pour elle de décrire ses années collège à l'école Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus où elle enchaîne "école buissonière, fugue, délire" : "J'étais un vrai garçon manqué, baggy, sketka, skate sous le bras. J'allais à la castagne, mais façon Brigades du Tigre". Caillera Enora ? Pas seulement.
"Très vite, sous les excès, se dessine un personnage attachant, valsant entre solidité d'apparat et autodépréciation" écrit la journaliste. Dans les lignes qui suivent, on apprend que la meilleure amie de Cyril Hanouna "reconnait sans rougir ses erreurs", de l'interview raillée de Pharrell Williams à son taff de briseuse de couples chez Cauet. D'ailleurs "la honte et le remord" lui tirent même une larme lorsqu'elle en parle. Pourtant, vous ne verrez jamais Enora Malagré se plaindre, consciente que "ses 5 000 à 6 000 euros mensuels lui font la vie facile et la mine réjouie". Hyperactive à la télévision, elle a pourtant déjà d'autres rêves : "revenir au théâtre" et continuer à "aider les teenagers qu'elle kiffe trop", comme elle le fait déjà dans sa libre-antenne Enora le Soir.