Ce n'est décidément pas simple pour les Blois de trouver la maison de leur rêve. Depuis plusieurs mois, la tribu star du programme de TF1, Familles nombreuses : la vie en XXL, est à la recherche d'un logement aux alentours de Montpellier. Diane Blois, son mari Gérome et leurs 9 enfants se trouvent dans une situation compliquée car ils doivent rapidement quitter la maison qu'ils louent actuellement. Leur propriétaire souhaite la vendre à sa fille. Lors d'un live Instagram, la mère de famille a déclaré qu'une de leurs abonnés a tenté de profiter de leur situation délicate pour les arnaquer en leur faisant une proposition très alléchante : "Elle louait une petite maison près de chez nous qui pouvait nous correspondre. (...) Avec un gros descriptif qui m'a fait un peu baver. Il y avait cinq chambres, deux salles de bain, cuisine, salon, jardin avec piscine creusée..." explique Diane Blois.
Le prix du loyer était de 1350 euros par mois et entrait donc tout à fait dans le budget de la tribu. Mais, le couple, qui s'est senti visé par une attaque d'Amandine Pellissard et lui a répondu, n'a jamais pu visité la fameuse maison. En effet, leur abonné avait toujours une bonne excuse, comme la supposée mort de sa mère ou une tentative de suicide sa petite soeur, pour repousser les rendez-vous. Des raisons qui ont "énormément affecté" Diane Blois, qui lui a même envoyé "des messages de soutien". Mais, ces empêchements répétés ont fini par alerter sa fille Carla, qui s'est rendu compte qu'il s'agissait en réalité une fausse annonce ! En effet, les photos correspondaient à une autre maison située à Montauban. "Je n'en revenais pas ! Je n'arrivais pas y croire !" a déclaré celle qui a été accusée d'abuser de sa notoriété.
Heureusement la famille n'a versé aucun argent à cette fameuse abonnée et ne comprend toujours pas les intentions de celle-ci. Pour autant ils ne comptent pas en rester là : "Une plainte va être déposée par nous, par l'agence, par les [vrais] propriétaires de la maison. On a ton numéro de téléphone, toutes les conversations sont enregistrées..." prévient Diane Blois.