Vous vous souvenez de l'histoire de Diana Blois, accusée d'abuser de sa notoriété pour avoir des McDo gratuits ? Eh bien, cette rumeur a été inventée par un groupe Facebook qui se fait appeler "Anti haters... aimer les familles nombreuses". Il s'attaque régulièrement aux familles de Familles nombreuses, la vie en XXL et la situation vire parfois au harcèlement. Olivier et Souk Gayat en sont d'ailleurs les premières victimes. Ils ont levé le voile sur ce cyberharcèlement, pour la première fois, au mois de juillet 2021.
Deux mois plus tard, le couple d'influenceurs a décidé de passer à la vitesse supérieure pour que toute cette haine contre les Dol, les Pellissard, les Blois, les Bambara, les Van Der Auwera ou encore les Gonzalez s'arrête : "On a déposé une main courante, car on ne sait jamais jusqu'où ça peut aller", explique Olivier Gayat à Télé Loisirs.
Même si la situation s'est apaisée, Souk et son mari tiennent avant tout à protéger leurs 9 enfants, Mathieu, Olivia (maman d'un petit garçon), Téo, Chloé, Elsa, Alicia, Rudy, Nolane et Jade : "Aujourd'hui, il y a beaucoup moins d'histoires, parce qu'on les a bloqués. Mais je me demande vraiment pourquoi ce groupe a été créé. Le pire, c'est qu'ils ne nous aiment pas, mais ils étaient abonnés à nous. Certaines personnes sont tellement méchantes. Elles veulent uniquement attiser la haine. Mais tout cela nous donne la force de continuer", confie la mère de famille.
Olivier, qui s'est confié en interview pour PRBK, ajoute : "Quand ça concerne nos enfants, ça nous agace. C'est plus dur de ne pas répondre. Des fois, vu ce qu'on voit et ce qu'on entend aussi, on préfère laisser passer. Mais là, c'est allé beaucoup trop loin !"