Jean-Michel Maire aurait eu une nouvelle mésaventure. Alors que Camille Combal a choqué Cyril Hanouna en parlant de sa première fois dans TPMP, son collègue Jean-Michel Maire aurait de son côté vécu un choc immense en se retrouvant "placé en garde-à-vue" comme l'a révélé Closer. Après s'être retrouvé au coeur de la polémique face Soraya Riffy, Jean-Michel Maire "a été convoqué ce mardi 8 novembre par la brigade des stupéfiants de la préfecture de Police". Le magazine people a aussi précisé que "depuis plusieurs mois, les enquêteurs de la police judiciaire travaillent au démantèlement d'un réseau de dealers de cocaïne parisien".
Jean-Michel Maire, toujours prêt pour un happening dans TPMP, s'est même confié en interview à Closer. Cette enquête concerne-t-elle un réseau de trafic de cocaïne ? "J'imagine que c'est ça" a-t-il répondu, "mon nom apparaît dans le téléphone de la personne sur laquelle la police enquête. Il se trouve que cette personne est un ami. J'ai expliqué aux enquêteurs que je ne connaissais pas ses activités".
Jean-Michel Maire a ensuite continué d'expliquer : "D'après ce que j'ai pu comprendre, cet ami a une double vie et plusieurs activités dont des activités illégales. Et comme j'apparais souvent dans ses appels, les enquêteurs voulaient savoir j'avais un lien avec ses activités illégales. Je leur ai dit que non, mais ils ont insisté". Résultat ? "J'ai passé la nuit en garde à vue. La police m'a interrogé le lendemain matin et relâché une heure après". Le chroniqueur de TPMP a aussi ajouté : "Je n'avais pas besoin de ça en ce moment... J'espère avoir été convaincant. Je le crois".
Et lorsque la question "Etes-vous un consommateur de cocaïne ?" est arrivée, Jean-Michel Maire a répondu en toute franchise au média. "J'ai dit aux enquêteurs que je l'avais été, mais que maintenant j'étais suivi par un hypnotiseur. Je ne consomme plus". Quant à son avenir dans TPMP sur C8, le journaliste ne semble pas inquiet de ce que pourrait penser Cyril Hanouna. "Il y a mon travail d'un côté et ma vie privée de l'autre. Je n'ai pas été interpellé dans le cadre de mon travail ou sur mon lieu de travail donc ce sont deux choses complètement séparées" a-t-il conclu.