Manuel Valls pensait sûrement que Léa Salamé ou Yann Moix seraient les plus virulents lors de son passage dans ONPC. Mais, surprise, c'est à Jérémy Ferrari qu'il a dû se frotter comme vous pouvez le (re)voir en vous rendant dans le diaporama. L'humoriste n'a pu retenir sa colère quand le Premier Ministre a justifié l'hommage en chanson de Johnny Hallyday (souvent la cible de Charlie Hebdo) aux commémorations des attentats de Paris en déclarant : "Maintenant, les membres de Charlie Hebdo et leur mort appartiennent à notre communauté nationale et nous nous projetons dans Charlie".
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Après avoir précisé que "la mort de quelqu'un appartient d'abord à la personne et sa famille" ou encore que la présence de Johnny Hallyday était une mauvaise idée selon lui, Jérémy Ferrari a lancé : "Au début du débat, vous avez parlé de la mort en parlant de ces jeunes qui préfèrent mourir que vivre. Renseignez-vous sur ce qu'on propose à ces djihadistes ! Pour eux, ils ne meurent pas. Pour eux, ils vivent une autre vie après la mort qui est meilleure que celle que leur offre la France". Et d'ajouter : "Ensuite, vous dites que nous sommes en guerre. Non ! Vous êtes en guerre, votre gouvernement est en guerre. Nous, on n'est pas en guerre, on se fait tirer dessus dans des salles de concert (...). Moi, je ne suis pas en guerre contre les musulmans". Et pour finir, l'ex chroniqueur de TPMP a reproché à Manuel Valls d'être venu faire la promotion de "L'exigence", son livre où l'on peut retrouver ses discours marquants prononcés après les attentats.
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