L'Amour est dans le pré 2024 : à cause de son portrait, une agricultrice victime d'un harceleur flippant, "J'ai dû porter plainte"

Il faudra attendre le 12 août prochain pour découvrir les premiers épisodes de la saison 19 de l'Amour est dans le pré, mais l'émission commence déjà à faire parler d'elle. Et pas nécessairement pour des raisons très positives. Après avoir vu Karine Le Marchand annoncer les départs précoces de trois agriculteurs, c'est une autre participante qui révèle avoir récemment vécu l'enfer à cause du programme.

En janvier dernier, Karell faisait partie des candidat(e)s de cette édition 2024 dont le portrait était diffusé. Or, comme vient de le confier l'éleveuse de vaches allaitantes et de volailles, tout ne s'est pas passé comme prévu ensuite. Au contraire, si elle a bien évidemment reçu quelques lettres de la part de prétendants, elle a également été victime... d'une vague de harcèlement.

"En janvier, mon téléphone n'a pas arrêté de sonner parce que des Karell dans ma région, il n'y en a pas 50, a-t-elle soufflé au micro de Télé-Loisirs, avant de rappeler que les producteurs d'M6 ne l'avaient pas franchement aidée sur ce coup-là. Dans mon portrait, on voit ma bâche avec mon numéro de téléphone, mon adresse postale et mon adresse mail donc c'est très facile de me contacter."

Et visiblement, parmi ces personnes prêtes à tout pour la séduire en dehors des caméras, elle a été contrainte de supporter le comportement déplacé d'un inconnu particulièrement flippant. "Il y a un mec relou qui m'a envoyé des courriers, a-t-elle révélé au magazine. Je n'avais pas d'identité, c'était des courriers anonymes et je n'ai su que la semaine dernière qui c'était." Comment ? En passant tout simplement à l'action : "J'ai dû porter plainte pour qu'il arrête".

Une confession inquiétante, mais une décision nécessaire tant la situation, qui n'a pas laissé indifférente l'agricultrice de 41 ans et mère de deux enfants, était devenue hors de contrôle. Aussi, même si elle a tenu à assurer, "Ce n'était pas méchant", l'attitude de cet anonyme commençait à prendre des proportions délirantes. "Ça m'a fait flipper. À un moment donné, j'avais peur, a reconnu Karell. C'est un mec qui m'avait idolâtrée, il avait collectionné toutes mes photos".

Cette expérience l'a-t-elle refroidie avant d'entamer l'étape des speed-dating ? Rendez-vous dans quelques jours pour le découvrir.