En septembre 2015, Maïtena Biraben disait rejoindre le Grand Journal telle une warrior. Mais les audiences n'étaient pas au top. En avril dernier, la présentatrice était absente pendant plusieurs émissions, pour soucis de santé. Alors que la rumeur de conflits dans les coulisses commençaient à naître sur la Toile, elle y mettait rapidement fin. Fin juin 2016, alors que la saison se terminait, Maïtena annonçait quitter l'émission.
Dans un communiqué publié le 2 juin dernier, Canal+ déclarait que l'animatrice "a souhaité quitter la présentation du Grand Journal à la fin de la saison. Son énergie et sa passion ont nourri les émissions qu'elle a animées sur les antennes de Canal+ : Nous ne sommes pas des Anges, Les Nouveaux explorateurs, La Matinale, Le Supplément et Le Grand Journal. Nous lui souhaitons plein de succès dans ses projet."
Pourtant, il semblerait que l'animatrice n'ait pas eu vraiment le choix. Le soir même, Yann Barthès annonçait le licenciement de l'animatrice dans le Petit Journal. Aujourd'hui, nouveau coup de théâtre : selon le site d'information médias Les Jours, la chaîne l'aurait même licencié pour "faute grave". "Canal + lui reproche une forme de déloyauté, d'avoir tout fait pour aboutir à une situation de blocage pour se faire payer sa clause de sortie alors qu'elle voulait partir". Elle serait déjà mise à pied depuis la semaine dernière.
Une accusation qui n'a pas plu à Maïtena Biraben, qui aurait décidé de saisir les Prud'hommes. L'animatrice de 49 ans ne serait pas la première à être victime de ce genre de méthode : selon Les Jours, le groupe auraient menacé Rodolphe Belmer et Ara Aprikian des mêmes sanctions, avant de les abandonner pour procéder à des négociations.