Avant de passer les castings de la Nouvelle Star 2014, Pauline se définissait comme une simple "chanteuse de salle de bain". Belle erreur. Passées les épreuves du théâtre , elle interprétera ce soir un titre en direct depuis le châpiteau de l'Arche St Germain. Et plein d'autres encore les semaines à venir. Le vrai plus de cette candidate, c'est son univers bien particulier : Pauline est né à la fin dans les années 90 mais ne vit qu'à travers les sixties. Ca va swinguer !
La moitié des candidats qualifiés pour les primes a dix ans de moins que lui. Et pourtant on a envie de croire que cette année, le doyen Mehdi peut gagner. Voix suave un brin cassée, rockeur mais sensible à la fois, et belle gueule non-négligeable : on a repéré le brun de 26 ans dès son casting à Paris. Et vu qu'on a envie de voir un homme gagner cette saison (remember Julien Doré), on mise sur lui.
Pendant les castings, André Manoukian l'avait qualifiée d'"Adele française". Il faut dire que comme la Britannique sacrée aux Oscars, Julie, 19 ans, a de la voix. Une voix absolument puissante et bluffante. Et c'est avec une facilité déconcertante qu'elle a gagné son ticket pour les primes en reprenant, justement, un titre d'Adele (Hometown Glory). Mais plus qu'une voix, Julie a du talent. Suffisamment pour squatter le châpiteau de l'Arche St Germain pendant de longues semaines.
Ezra peut remercier son amie qui l'a inscrit, à son insu, aux castings de la Nouvelle Star. Car cet étudiant de 20 ans, qui a besoin seulement d'une guitare pour nous transporter, a toutes ses chances de succéder à Sophie-Tith. Avec son joli grain de voix, son univers folk et sa gueule d'ange (ça ne gâche rien!), Ezra est assurément l'un des candidats à suivre de cette 10ème saison.
Yseult a failli ne pas être là. Pour participer au casting, cette Parisienne de 19 ans a menti à son père et séché les cours. Et Dieu qu'elle a bien fait ! Franche personnalité, à l'aise dans toutes les situations et une voix soul à tomber, rien ne semble pouvoir faire flancher Yseult.
Charlotte Vaccaro et Louise Wessbecher