Une nouvelle édition des Grandes Gueules a été diffusée par RMC et RMC Story le mardi 18 juillet 2023 entre 9 heures et midi. Olivier Truchot y a été accompagné par Jean-Baptiste Djebbari, Barbara Lefebvre et Wallerand Moullé-Berteaux pour décrypter les sujets qui agitaient l'actualité.
Le célèbre acolyte d'Alain Marschall a consacré l'un des débats de l'émission au thème "Faut-il poursuivre le PDG de Total pour écocide ?". "C'est ce que souhaite Sandrine Rousseau. 'Cet homme est dangereux...'. Elle est indignée par la promotion au rang d'officier de la légion d'honneur du PDG de Total Energies, Patrick Pouyanné", a-t-il précisé pendant que Barbara Lefebvre et Wallerand Moullé-Berteaux se rangeaient du côté du "oui", et Jean-Baptiste Djebbari du côté du "non".
Alors que 67% des fidèles des Grandes Gueules se prononçaient en faveur du non, Barbara Lefebvre s'est agacée. "On le disait tout à l'heure avec Jean-Baptiste, c'est le porteur du message qui porte préjudice au message. Il suffit que ce soit Sandrine Rousseau qui dise un truc et qui le dise en plus avec un excès et sans grande précision... Nous, on essaye de présenter des arguments. On n'a rien contre monsieur Pouyanné en soit. Mais comme derrière on a l'image de Sandrine Rousseau, les gens ne comprennent pas...", s'est excédée la chroniqueuse des "GG".
Olivier Truchot a estimé qu'il y avait peut-être une autre explication. "Il y a aussi le fait qu'on va tous faire le plein chez Total. Total, c'est aussi la station service d'à côté ! Il y a les grandes réflexions, les envolées lyriques de Sandrine Rousseau et puis après, il y a la réalité", a-t-il expliqué avant de balancer : "Quand Sandrine Rousseau a quitté le studio de RMC, elle a pris un taxi". "Je prends le pari qu'il n'était pas électrique. Voilà, c'est ça la réalité !", a asséné celui qui s'est emporté comme jamais contre une ministre après les émeutes, sans la moindre preuve.
Que ça soit avec ses punchlines ou prises de positions politiques, Sandrine Rousseau ne laisse personne indifférent. La députée écologiste s'est retrouvée au coeur d'une nouvelle polémique lors du week-end du 14 juillet en postant sur Twitter : "Il fait 60 degrés en Espagne. Il fait 60 degrés". Problème, cette mesure ne correspond pas à une température relevée dans l'air, mais au sol. Au micro du Face à face de RMC le lundi 17 juillet, celle qui a été accusée d'être hors-la-loi par un invité de BFMTV a persisté et signé...