Ce jeudi 9 février 2023, Cyril Hanouna animait un nouveau numéro de TPMP. Parmi les nombreux sujets abordés au cours de la soirée, l'amende record contre C8 et l'avenir de TPMP. Les chroniqueurs présents autour de la table ont également pu revenir sur un sujet très sensible : faut-il oui ou non se faire justice soi-même ? L'invitée du jour était Brenda, une jeune femme qui a fait le choix de piéger elle-même le voleur de son vélo.
Une histoire qui a fait écho à Jean-Michel Maire. Le chroniqueur emblématique de Touche pas à mon poste a en effet raconté l'une de ses mésaventures. "J'ai été victime de chantage et les flics ont fait le traquenard eux-mêmes. Ils ont piégé la personne", raconte-t-il. "C'était une fille avec qui j'avais une relation épistolaire, sur les réseaux. Je ne l'avais jamais vue parce qu'elle habitait loin, soi-disant à Orléans. On devait se voir 15 jours plus tard..."
Malheureusement pour lui, la situation a dégénéré. "Je lui avais envoyé une photo intime, une photo sous la douche. Et elle avait fait de même. C'est elle qui l'avait fait en premier d'ailleurs. Du coup, elle voulait me donner rendez-vous mais, au dernier moment, elle m'a dit 'Non seulement je ne viendrai pas, mais si tu ne veux pas que je balance la photo à tout le monde...' Elle me réclamait 3 500 euros".
>> Un invité balance en direct sur la sextape d'un chroniqueur de TPMP ! <<
Hors de question de payer quoi que ce soit pour Jean-Michel qui s'est directement rendu au commissariat. "J'ai été porter plainte, j'ai été voir les policiers qui ont décidé de monter un traquenard pour la choper. Ils m'ont dit de ne pas y aller. Ils ne l'ont pas eue parce qu'elle avait des doutes et elle s'est barrée avant d'arriver sur place".
Cette histoire n'est pas sans rappeler celle racontée le mois dernier dans TPMP. Jean-Michel avait révélé avoir été victime d'une jeune femme lui réclamant une énorme somme d'argent pour ne pas divulguer ses photos intimes dans la presse française. "Un jour, un journaliste du magazine Public, que je connais un peu, m'a appelé en me disant : 'Est-ce que c'est normal qu'on reçoive des photos intimes de toi à la rédaction ?' J'ai écrit à la personne, et sachant qu'elle était dévoilée, elle m'a tout de suite dit qu'elle réclamait 25 000 euros pour cesser d'essayer de vendre les photos en question à la presse. Le magazine m'avait dit que, de toute façon, ils ne feraient jamais paraître ce genre de photos, mais pour que je sache que ça circule". Jean-Michel Maire fera dorénavant plus attention.